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MÉDITERRANÉE. L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté sans vote, mardi 19 décembre 2017, une résolution intitulée "Réalisation universelle du droit des peuples à l'autodétermination". Le texte soutient que "la réalisation universelle de ce droit, y compris pour les peuples soumis à une domination coloniale, étrangère ou extérieure, est une condition essentielle au respect effectif des droits de l'homme ainsi qu'à la préservation et à la promotion de ces droits".
L’Assemblée générale s'est déclarée "fermement opposée à tous les actes d’intervention, d’agression ou d’occupation militaire étrangère, qui ont eu pour effet d’empêcher l’exercice du droit des peuples à l’autodétermination et d’autres droits fondamentaux dans certaines régions du monde. Elle demande aux États responsables de tels actes de mettre fin immédiatement à leur intervention et leur occupation militaires dans des pays et territoires étrangers ainsi qu’à tous les actes de répression, de discrimination et d’exploitation et à tous les mauvais traitements infligés aux peuples visés".
Il était difficile de ne pas y voir en filigrane le conflit israélo-palestinien, un jour après l'échec au Conseil de sécurité d'un vote pour invalider toute décision unilatérale de modifier le statut de Jérusalem.
D'autant plus que la résolution suivante concernait "Le droit du peuple palestinien à l'autodétermination". Adoptée avec 176 voix pour, sept contre (Canada, Etats-Unis, Israël, Îles Marshall, Etats fédérés de Micronésie, Nauru et Palaos) et quatre abstentions (Cameroun, Honduras, Togo, Tonga), ce texte réaffirme le "droit du peuple palestinien à l'autodétermination, y compris son droit à un Etat de Palestine indépendant". Dans cette résolution, l'Onu "exhorte tous les Etats ainsi que les institutions spécialisées et les organismes des Nations unies à continuer d'apporter soutien et aide au peuple palestinien en vue de la réalisation rapide de son droit à l'autodétermination".
L’Assemblée générale s'est déclarée "fermement opposée à tous les actes d’intervention, d’agression ou d’occupation militaire étrangère, qui ont eu pour effet d’empêcher l’exercice du droit des peuples à l’autodétermination et d’autres droits fondamentaux dans certaines régions du monde. Elle demande aux États responsables de tels actes de mettre fin immédiatement à leur intervention et leur occupation militaires dans des pays et territoires étrangers ainsi qu’à tous les actes de répression, de discrimination et d’exploitation et à tous les mauvais traitements infligés aux peuples visés".
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