
Le statut de Jérusalem continue à brouiller les relations entre Israéliens et Palestiniens (photo : F.Dubessy)
Voir aussi
-
La Turquie et Israël reprennent "pleinement et entièrement" leurs relations diplomatiques
-
Le Premier ministre israélien plébiscite l'arrivée de Carrefour dans son pays
-
Les Israéliens convoqués aux urnes en automne 2022
-
Les autorités israéliennes accordent 3 500 permis d'entrée sur leur territoire aux Palestiniens
-
La dissolution de la Knesset et le retour de Benyamin Netanyahou se profilent en Israël
ISRAËL / AUTORITÉ PALESTINIENNE. Le Conseil central palestinien a demandé, lundi 15 janvier 2018 à Ramallah en Cisjordanie, à l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) de "suspendre la reconnaissance d'Israël, jusqu'à ce que ce dernier reconnaisse l'Etat de Palestine dans ses frontières de 1967, annule l'annexion de Jérusalem-Est et cesse ses activités de colonisation".
La réponse à la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël le 6 décembre 2017 s'est fait attendre mais vient mettre de l'huile sur le feu déjà bien ardent des relations entre Israël et l'Autorité palestinienne.
Proposé au vote, le texte du Conseil central palestinien a recueilli soixante-quatorze voix pour, deux contre et douze abstentions. Déjà la Palestine a gelé tout contact avec les Etats-Unis et refuse que l'administration Trump participe aux négociations de paix.
Il appartient désormais à Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne et directeur du Comité exécutif de l'OLP - seul habilité à prendre les décisions engageant les Palestiniens dans le cadre du processus de paix avec Israël-, de se prononcer sur cette proposition du Conseil central palestinien.
La réponse à la reconnaissance par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël le 6 décembre 2017 s'est fait attendre mais vient mettre de l'huile sur le feu déjà bien ardent des relations entre Israël et l'Autorité palestinienne.
Proposé au vote, le texte du Conseil central palestinien a recueilli soixante-quatorze voix pour, deux contre et douze abstentions. Déjà la Palestine a gelé tout contact avec les Etats-Unis et refuse que l'administration Trump participe aux négociations de paix.
Il appartient désormais à Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne et directeur du Comité exécutif de l'OLP - seul habilité à prendre les décisions engageant les Palestiniens dans le cadre du processus de paix avec Israël-, de se prononcer sur cette proposition du Conseil central palestinien.