Voir aussi
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
-
La production d'électricité solaire européenne a atteint un record pendant l'été 2022
-
Eni acquiert les activités de BP en Algérie

Arrivées de clandestins à Lampedusa (photo CC- V. Manzari)
ITALIE. Ficher les clandestins en attente d’asile avant qu’ils ne quittent l’Italie pour s’installer dans les autres pays de l’union. C’est le projet mis en place par les Italiens qui l’ont baptisé opération « Mos Maiorum ».
Le coup d’envoi sera donné le 26 octobre 2014. Selon le ministère de l’Intérieur italien, cette opération, qui sera effectuée en collaboration avec les autres états membres de l’union européenne, s’inscrit dans la lutte contre les trafiquants de clandestins.
« Elle nous permettra de brosser un tableau précis de l’immigration clandestine, d’évaluer les tendances et les déplacements des clandestins » a déclaré le ministre italien de l’Intérieur Angelino Alfano. Les policiers impliqués dans cette opération devront transcrire, l’endroit, la date et l’heure à laquelle les clandestins ont été interceptés et les moyens de transport utilisés pour arriver en Italie. Ils devront aussi inscrire la nationalité, l’age et le sexe des clandestins. Le ministère de l’Intérieur italien estime que cette banque de données devrait permettre à l’Union européenne, d’adopter des décisions ciblées pour faire face aux flux migratoires.
Problème : comment obliger les clandestins à décliner leur vérité identité ?
Le coup d’envoi sera donné le 26 octobre 2014. Selon le ministère de l’Intérieur italien, cette opération, qui sera effectuée en collaboration avec les autres états membres de l’union européenne, s’inscrit dans la lutte contre les trafiquants de clandestins.
« Elle nous permettra de brosser un tableau précis de l’immigration clandestine, d’évaluer les tendances et les déplacements des clandestins » a déclaré le ministre italien de l’Intérieur Angelino Alfano. Les policiers impliqués dans cette opération devront transcrire, l’endroit, la date et l’heure à laquelle les clandestins ont été interceptés et les moyens de transport utilisés pour arriver en Italie. Ils devront aussi inscrire la nationalité, l’age et le sexe des clandestins. Le ministère de l’Intérieur italien estime que cette banque de données devrait permettre à l’Union européenne, d’adopter des décisions ciblées pour faire face aux flux migratoires.
Problème : comment obliger les clandestins à décliner leur vérité identité ?