
Face à l'arrêt de desserte de l'Italie des compagnies étrangères, Rome ferme totalement et partiellement ses aéroports (photo : F.Dubessy)
Voir aussi
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
-
La Commission européenne accepte la reconduction d'une aide française aux entreprises de transport de passagers
-
La Cnuced s'alarme de l'augmentation du chômage et de la pauvreté en Palestine
ITALIE. Les vagues de fermetures se poursuivent en Italie. Le pays s'isole de plus à cause du l'épidémie du Covid-19. Les autorités italiennes ont décidé de fermer, à compter du vendredi 13 mars 2020, l'aéroport de Rome Ciampino.
Située à quinze kilomètres de Rome, cette plate-forme accueille quasiment que des compagnies low cost dont, notamment, Ryanair, qui a déjà annoncé l'arrêt de ses vols vers et de l'Italie, et Wizz Air.
L'aéroport international Leonard-de-Vinci, aussi appelé Rome-Fiumicino, va limiter aussi son activité en fermant, à partir de mardi 17 mars 2020, un terminal sur les trois qu'il abrite. Il s'agit du terminal 1, dédié aux vols nationaux et à ceux d'Alitalia et KLM-Air France. Plusieurs grandes compagnies ont renoncé à desservir l'Italie, comme Air France et British Airways.
Située à quinze kilomètres de Rome, cette plate-forme accueille quasiment que des compagnies low cost dont, notamment, Ryanair, qui a déjà annoncé l'arrêt de ses vols vers et de l'Italie, et Wizz Air.
L'aéroport international Leonard-de-Vinci, aussi appelé Rome-Fiumicino, va limiter aussi son activité en fermant, à partir de mardi 17 mars 2020, un terminal sur les trois qu'il abrite. Il s'agit du terminal 1, dédié aux vols nationaux et à ceux d'Alitalia et KLM-Air France. Plusieurs grandes compagnies ont renoncé à desservir l'Italie, comme Air France et British Airways.