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ESPAGNE / IRAN. Selon José Manuel Garcia-Margallo, ministre espagnol des Affaires Étrangères, l'Iran relance son projet de construction d'une raffinerie de pétrole en Espagne. Des négociations entamées avec le géant pétrolier russe Rosneft avaient été interrompues par les sanctions occidentales contre l'Iran, notamment celles de l'Union européenne, en janvier 2012, avec un embargo pétrolier fixant l'interdiction de tout nouveau contrat dans le secteur pétrolier avec l'Iran pour les pays européens.
A la faveur de l'entrée en vigueur de l'accord nucléaire iranien, le projet repart donc, sans doute cette fois en partenariat financier avec des compagnies espagnoles. Cette raffinerie s'implanterait en Andalousie et plus précisément à Algesiras, dans le sud de l'Espagne. Elle permettrait de conquérir de nouveaux marchés en Europe, alors que l'Iran se prépare à produire et à exporter 500 000 barils supplémentaires par jour (2,8 millions actuellement dont 1 million exportés) comme vient de l'indiquer, lundi 17 janvier 2016, Rokneddine Javadi, directeur de la Compagnie nationale iranienne de pétrole (NIOC).
Selon des informations iraniennes, la capacité de cette future raffinerie sera de 200 000 barils et ne fonctionnera qu'avec du pétrole iranien.
A la faveur de l'entrée en vigueur de l'accord nucléaire iranien, le projet repart donc, sans doute cette fois en partenariat financier avec des compagnies espagnoles. Cette raffinerie s'implanterait en Andalousie et plus précisément à Algesiras, dans le sud de l'Espagne. Elle permettrait de conquérir de nouveaux marchés en Europe, alors que l'Iran se prépare à produire et à exporter 500 000 barils supplémentaires par jour (2,8 millions actuellement dont 1 million exportés) comme vient de l'indiquer, lundi 17 janvier 2016, Rokneddine Javadi, directeur de la Compagnie nationale iranienne de pétrole (NIOC).
Selon des informations iraniennes, la capacité de cette future raffinerie sera de 200 000 barils et ne fonctionnera qu'avec du pétrole iranien.