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Le directeur général de l'IEMed, Andreu Bassols (photo IEMed)
ESPAGNE / MÉDITERRANÉE. Andreu Bassols, directeur général de l'Institut européen de la Méditerranée (IEMed), présente lundi 12 novembre 2012 à Bruxelles, au parlement européen, la neuvième édition d'un ouvrage qui devient chaque année plus dense : « L'annuaire de la Méditerranée, Med 2012 ».
Ce document actualisé annuellement donne une image exhaustive de la réalité méditerranéenne à travers les trois axes qui intéressent l’institut basé à Barcelone : politique, économique et culturel. Avec des sources puisant leurs racines dans l'ensemble du pourtour méditerranéen puisque « l'IEMed coordonne un réseau de 92 think tanks », comme le rappelle Andreu Bassols.
Les « printemps arabes » demeurent toujours bien évidemment au centre de cette nouvelle édition « Med 2012 », à travers une analyse documentée des transitions démocratiques toujours en cours. Avec une attention toute particulière sur les nouveaux modes de gouvernance économiques et les « tensions démocratiques » qui en découlent, dont le directeur général de l'IEMed rappelle l’un des enjeux : « Il est plus que jamais essentiel de convaincre les pays du sud de la Méditerranée que l'Europe est une opportunité pour eux ; car si les anciennes élites en étaient convaincues, ce n'est plus forcement le cas aujourd'hui. La « multipolarisation» des nouveaux dirigeants peut conduire à des rapports plus complexes avec l'Europe. »
L'annuaire méditerranéen de l'IEMed analyse aussi l'émergence de la Turquie comme « nouveau pouvoir régional », et dresse le panorama, comme à chaque édition, des évolutions économiques, politiques, sociales et démographiques de l'ensemble de la zone.
Le contenu de l'annuaire peut être consulté en ligne, sur le site de l'IEMed.
Ce document actualisé annuellement donne une image exhaustive de la réalité méditerranéenne à travers les trois axes qui intéressent l’institut basé à Barcelone : politique, économique et culturel. Avec des sources puisant leurs racines dans l'ensemble du pourtour méditerranéen puisque « l'IEMed coordonne un réseau de 92 think tanks », comme le rappelle Andreu Bassols.
Les « printemps arabes » demeurent toujours bien évidemment au centre de cette nouvelle édition « Med 2012 », à travers une analyse documentée des transitions démocratiques toujours en cours. Avec une attention toute particulière sur les nouveaux modes de gouvernance économiques et les « tensions démocratiques » qui en découlent, dont le directeur général de l'IEMed rappelle l’un des enjeux : « Il est plus que jamais essentiel de convaincre les pays du sud de la Méditerranée que l'Europe est une opportunité pour eux ; car si les anciennes élites en étaient convaincues, ce n'est plus forcement le cas aujourd'hui. La « multipolarisation» des nouveaux dirigeants peut conduire à des rapports plus complexes avec l'Europe. »
L'annuaire méditerranéen de l'IEMed analyse aussi l'émergence de la Turquie comme « nouveau pouvoir régional », et dresse le panorama, comme à chaque édition, des évolutions économiques, politiques, sociales et démographiques de l'ensemble de la zone.
Le contenu de l'annuaire peut être consulté en ligne, sur le site de l'IEMed.