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MEDITERRANEE. Selon une enquête menée par l'Institut européen de la Méditerranée (IEMed), la France est identifiée comme l'un des quatre pays (avec la Syrie, l'Irak et l'Égypte) les plus vulnérables dans les prochaines années face à l'extrémisme. Il est le seul européen cité.
Editée lundi 18 décembre 2017, cette étude consacrée à l'extrémisme violent dans la région euro-méditerranéenne a été réalisée grâce à 746 réponses reçues après l'envoi d'un questionnaire auprès de 5 000 experts et acteurs (dont econostrum.info) provenant des quarante-trois pays de la région euro-méditerranéenne.
Le document met en avant que cet extrémisme est considéré comme "la principale menace pour la stabilité et la sécurité de la région, mais l'islamophobie ou la montée de l'extrême droite ainsi que les tendances autoritaires dans certains pays ont des effets similaires". Ses moteurs s'avèrent davantage sociaux que religieux. Ils reposent sur l'exclusion économique, l'affaiblissement des États, l'exclusion politique et la discrimination. "Le meilleur remède pour combattre l'extrémisme violent est la lutte contre les facteurs structurels qui le nourrissent, en particulier les facteurs économiques et sociaux", précise l'enquête, et non pas la mise en place de mesures sécuritaires.
L'étude préconise à l'Union européenne de se concentrer sur deux priorités principales : "combattre les discriminations et contribuer à résoudre les conflits en dehors de l'UE qui fournissent un terrain fertile à l'extrémisme violent".
Lire les résultats de l'enquête IEMed sur l'extrémisme violent dans la région euro-méditerranéenne
Editée lundi 18 décembre 2017, cette étude consacrée à l'extrémisme violent dans la région euro-méditerranéenne a été réalisée grâce à 746 réponses reçues après l'envoi d'un questionnaire auprès de 5 000 experts et acteurs (dont econostrum.info) provenant des quarante-trois pays de la région euro-méditerranéenne.
Le document met en avant que cet extrémisme est considéré comme "la principale menace pour la stabilité et la sécurité de la région, mais l'islamophobie ou la montée de l'extrême droite ainsi que les tendances autoritaires dans certains pays ont des effets similaires". Ses moteurs s'avèrent davantage sociaux que religieux. Ils reposent sur l'exclusion économique, l'affaiblissement des États, l'exclusion politique et la discrimination. "Le meilleur remède pour combattre l'extrémisme violent est la lutte contre les facteurs structurels qui le nourrissent, en particulier les facteurs économiques et sociaux", précise l'enquête, et non pas la mise en place de mesures sécuritaires.
L'étude préconise à l'Union européenne de se concentrer sur deux priorités principales : "combattre les discriminations et contribuer à résoudre les conflits en dehors de l'UE qui fournissent un terrain fertile à l'extrémisme violent".
Lire les résultats de l'enquête IEMed sur l'extrémisme violent dans la région euro-méditerranéenne