
Les nouvelles rames TGV circuleront finalement bien sur une ligne à très grande vitesse (photo : Alliance Railteam)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE. En octobre 2016, pour empêcher la fermeture du site de Belfort d'Alstom, l'Etat français signait une commande de quinze rames TGV à cette usine.
Ces rames Euroduplex d'un montant de 480 M€ ne vont finalement pas être payées par l'Etat français mais par la SNCF qui vient d'hériter de la facture. La SNCF n'ayant pas besoin de TGV, elles devaient au départ venir enrichir le parc des lignes Intercités Bordeaux-Marseille voire Montpellier-Perpignan. Donc des TGV qui auraient rouler sur des rames normales...
Mais revirement de situation, en échouant sur le bureau du transporteur français, la commande va finalement permettre d'alimenter une ligne à très grande vitesse par une astuce. Ces rames neuves viendront se substituer à la rénovation programmée de vingt-quatre vieilles rames - dont certaines de plus de trente-cinq ans - qui devait coûter 150 M€. Elles circuleront en 2019 pour les six premières rames et 2020 pour les neuf autres sur la ligne Paris-Bordeaux (TGV Atlantique).
Le conseil d'administration de SNCF Mobilités se prononcera sur ce montage jeudi 23 février 2017.
Ces rames Euroduplex d'un montant de 480 M€ ne vont finalement pas être payées par l'Etat français mais par la SNCF qui vient d'hériter de la facture. La SNCF n'ayant pas besoin de TGV, elles devaient au départ venir enrichir le parc des lignes Intercités Bordeaux-Marseille voire Montpellier-Perpignan. Donc des TGV qui auraient rouler sur des rames normales...
Mais revirement de situation, en échouant sur le bureau du transporteur français, la commande va finalement permettre d'alimenter une ligne à très grande vitesse par une astuce. Ces rames neuves viendront se substituer à la rénovation programmée de vingt-quatre vieilles rames - dont certaines de plus de trente-cinq ans - qui devait coûter 150 M€. Elles circuleront en 2019 pour les six premières rames et 2020 pour les neuf autres sur la ligne Paris-Bordeaux (TGV Atlantique).
Le conseil d'administration de SNCF Mobilités se prononcera sur ce montage jeudi 23 février 2017.