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FRANCE. Le gouvernement a annoncé, mardi 4 octobre 2016 à Belfort, une commande de quinze rames TGV Euroduplex et vingt locomotives de manœuvre à l'usine Alstom de Belfort pour une enveloppe de 450 M€. Elle s'inscrit dans le cadre du plan de maintien des activités ferroviaires et industrielles sur cette unité du nord-est de la France. Ce document prévoit aussi un développement des activités de services et des investissements significatifs pour une diversification du site.
Selon un communiqué publié le même jour par Alstom, le groupe s'"engage à moderniser l'outil industriel, avec un objectif d'employer 150 personnes d'ici à 2019 pour ces activité." Alstom devrait investir 40 M€ dans son usine. Et l'Etat 30 M€.
La SNCF n'ayant pas besoin de TGV, ces rames spécifiques pour la grande vitesse seront affectées aux lignes Intercités Bordeaux-Marseille et Montpellier-Perpignan. Par contre, la SNCF prendra à son compte les vingt locomotives diesel pour le remorquage de trains en panne. Ainsi que six autres TGV, déjà prévus, destinés à la liaison Paris-Turin, Milan pour 200 M€.
Cette commande arrivera en trois fois d'ici à 2020.
Alstom avait annoncé la fermeture de son site de Belfort d'ici à 2018 et le transfert de l'ingénierie et de la production sur l'autre site de Reichshoffen. 400 emplois se trouvaient menacés.
Selon un communiqué publié le même jour par Alstom, le groupe s'"engage à moderniser l'outil industriel, avec un objectif d'employer 150 personnes d'ici à 2019 pour ces activité." Alstom devrait investir 40 M€ dans son usine. Et l'Etat 30 M€.
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Cette commande arrivera en trois fois d'ici à 2020.
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