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FRANCE. En Bretagne, Emmanuel Macron a confirmé la poursuite de six projets de parcs éoliens en mer au large des côtes françaises. Le président de la République a cependant prévenu que l'Etat réduira son soutien financier.
Ces six parcs éoliens, les premiers français, ont été confiés à plusieurs opérateurs au cours d'appels d'offres lancés en 2011 et 2013. L'électricité produite sera achetée aux exploitants à un prix fixé lors de ces soumissions mais qui a du être renégocié sous impulsion de l'Etat. "La négociation a permis de diminuer de 40% la subvention publique et d'avoir un ajustement des tarifs de 30%", indique Emmanuel Macron. Ceci se traduit, selon le président, par une économie de "15 mrds€ d'argent public pour les mêmes projets, la même ambition, les mêmes tailles de projets." Les tarifs d'achats ont été ramenés de 200 à 150 € par mégawatt/heure sur vingt ans contre 180 et 230 € prévus dans les appels d'offres.
Selon Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique, ces projets représentent "la puissance de deux réacteurs nucléaires".
D'une puissance unitaire de 500 mégawatts et d'un coût d'environ 2 mrds€ par projet, les six parcs seront construits entre la fin 2021 et 2024 par EDF (Fécamp, Saint-Nazaire et Courseulles-sur-mer), Engie (Tréport et Yeu-Noirmoutier) et l'Espagnol Iberdrola (Saint-Brieuc).
Ils pourraient créer 15 000 emplois directs et indirects en Bretagne, en Normandie et dans les Pays de la Loire.
Ces six parcs éoliens, les premiers français, ont été confiés à plusieurs opérateurs au cours d'appels d'offres lancés en 2011 et 2013. L'électricité produite sera achetée aux exploitants à un prix fixé lors de ces soumissions mais qui a du être renégocié sous impulsion de l'Etat. "La négociation a permis de diminuer de 40% la subvention publique et d'avoir un ajustement des tarifs de 30%", indique Emmanuel Macron. Ceci se traduit, selon le président, par une économie de "15 mrds€ d'argent public pour les mêmes projets, la même ambition, les mêmes tailles de projets." Les tarifs d'achats ont été ramenés de 200 à 150 € par mégawatt/heure sur vingt ans contre 180 et 230 € prévus dans les appels d'offres.
Selon Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique, ces projets représentent "la puissance de deux réacteurs nucléaires".
D'une puissance unitaire de 500 mégawatts et d'un coût d'environ 2 mrds€ par projet, les six parcs seront construits entre la fin 2021 et 2024 par EDF (Fécamp, Saint-Nazaire et Courseulles-sur-mer), Engie (Tréport et Yeu-Noirmoutier) et l'Espagnol Iberdrola (Saint-Brieuc).
Ils pourraient créer 15 000 emplois directs et indirects en Bretagne, en Normandie et dans les Pays de la Loire.