Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le FMI critique la lenteur dans la mise en œuvre des réformes au Liban
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
-
Europlasma s'engage dans le traitement en France des déchets d'amiante algériens
FRANCE. Michel Sapin, ministre français des Finances et des Comptes publics, et Emmanuel Macron, ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, annoncent, mardi 3 mars 2015, la clôture de l'opération de cession par l'État de 16,5 millions d'actions de Safran.
Paris se sépare donc de 3,96% du capital du groupe spécialisé dans les domaines de l'aéronautique, l'astronautique, la défense et la sécurité pour un montant d'environ 1 mrd€. Toutes ces actions ont trouvé preneur auprès d'investisseurs institutionnels.
L'État français, via l'Agence des Participations de l'État, ne détient plus que 18,03% des parts de Safran. Le reste du capital se trouve entre les mains des salariés (14,4%) et du public (67,46%). 0,1% étant en autodétention-autocontrôle.
Safran (15,35 mrds€ de chiffre d'affaires en 2014 et 69 000 salariés) est né de la fusion en mai 2005 entre Snecma et Sagem.
Paris se sépare donc de 3,96% du capital du groupe spécialisé dans les domaines de l'aéronautique, l'astronautique, la défense et la sécurité pour un montant d'environ 1 mrd€. Toutes ces actions ont trouvé preneur auprès d'investisseurs institutionnels.
L'État français, via l'Agence des Participations de l'État, ne détient plus que 18,03% des parts de Safran. Le reste du capital se trouve entre les mains des salariés (14,4%) et du public (67,46%). 0,1% étant en autodétention-autocontrôle.
Safran (15,35 mrds€ de chiffre d'affaires en 2014 et 69 000 salariés) est né de la fusion en mai 2005 entre Snecma et Sagem.