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ALGERIE. L’Etat algérien, par la voix de son Premier ministre, a réaffirmé publiquement et solennellement sa volonté inébranlable de racheter l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy, "quels que soient les obstacles. "
Djezzy est la marque d’Orascom Telecom Algérie (OTA), filiale du groupe égyptien Orascom Telecom Holding (OTH).
Répondant, le 31 octobre 2010, aux questions des députés à la suite de sa présentation de politique générale effectuée la semaine dernière, Ahmed Ouyahia a précisé que les pouvoirs publics algériens ne négocieraient qu’avec la seule partie qu’ils reconnaissent, « à savoir Orascom Telecom Holding (OTH), cosignataire du contrat, et nulle autre partie ».
Pour rappel, OTH avait annoncé, début octobre 2010, avoir conclu un accord de fusion (lire: Orascom Télécom fusionne avec le russe Vimpelcom ) avec le groupe russo-norvégien Vimpelcom. Le patron de ce dernier avait alors proposé de revendre les actifs de Djezzy pour la somme de 7,8 mds$.
Refusant de répondre à une offre jugée démesurée et qui, de surcroit, n’émanait pas de la partie avec laquelle il avait conclu un accord initial, le gouvernement algérien a lancé des appels d’offres internationaux en vue de procéder à l’évaluation d’OTA.
En attendant l’achèvement de cette procédure qui devrait durer quelques mois, les pouvoirs publics ont annoncé une série de mesures à l’encontre d’OTA : redressement fiscal de 17 mds$ pour l’année 2008-2009, sommation du paiement des salaires des employés de l’entreprise de téléphonie fixe Lacom, attaque en justice de la Banque d’Algérie pour transfert illégal de devises vers l’étranger…
Lire aussi:Le gouvernement algérien réaffirme sa volonté de récupérer Djezzy
Le gouvernement algérien refuse toute vente d’Orascom Telecom à un groupe étranger
Djezzy est la marque d’Orascom Telecom Algérie (OTA), filiale du groupe égyptien Orascom Telecom Holding (OTH).
Répondant, le 31 octobre 2010, aux questions des députés à la suite de sa présentation de politique générale effectuée la semaine dernière, Ahmed Ouyahia a précisé que les pouvoirs publics algériens ne négocieraient qu’avec la seule partie qu’ils reconnaissent, « à savoir Orascom Telecom Holding (OTH), cosignataire du contrat, et nulle autre partie ».
Pour rappel, OTH avait annoncé, début octobre 2010, avoir conclu un accord de fusion (lire: Orascom Télécom fusionne avec le russe Vimpelcom ) avec le groupe russo-norvégien Vimpelcom. Le patron de ce dernier avait alors proposé de revendre les actifs de Djezzy pour la somme de 7,8 mds$.
Refusant de répondre à une offre jugée démesurée et qui, de surcroit, n’émanait pas de la partie avec laquelle il avait conclu un accord initial, le gouvernement algérien a lancé des appels d’offres internationaux en vue de procéder à l’évaluation d’OTA.
En attendant l’achèvement de cette procédure qui devrait durer quelques mois, les pouvoirs publics ont annoncé une série de mesures à l’encontre d’OTA : redressement fiscal de 17 mds$ pour l’année 2008-2009, sommation du paiement des salaires des employés de l’entreprise de téléphonie fixe Lacom, attaque en justice de la Banque d’Algérie pour transfert illégal de devises vers l’étranger…
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