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Luis de Guindos : un ministre de l'Économie sous surveillance (photo Moncloa)
ESPAGNE. Le ministre espagnol de l'Économie, Luis de Guindos, soutient qu'il ne donnera pas suite aux recommandations de la « troïka ».
La Commission européenne, la BCE et le FMI ont en effet remis la pression sur le gouvernement de Mariano Rajoy, en publiant leurs doléances à travers le bulletin trimestriel sur le sauvetage du système bancaire espagnol.
Concrètement, les trois institutions demandent -entre autres- l'augmentation de la TVA réduite (qui est déjà passée de 8 à 10% en 2012), une hausse des taxes sur le carburant, et une réforme des retraites (baisse des pensions ou allongement des cotisations).
Malgré le refus de toute hausse d'impôt affiché pour l'instant par le gouvernement espagnol, ces recommandations prouvent que l'Espagne n'a sans doute pas encore fini de payer le prix du soutient apporté par la Communauté Européenne pour le sauvetage de son système financier. Une surveillance qui n'est pas si loin d'une mise sous tutelle.
La Commission européenne, la BCE et le FMI ont en effet remis la pression sur le gouvernement de Mariano Rajoy, en publiant leurs doléances à travers le bulletin trimestriel sur le sauvetage du système bancaire espagnol.
Concrètement, les trois institutions demandent -entre autres- l'augmentation de la TVA réduite (qui est déjà passée de 8 à 10% en 2012), une hausse des taxes sur le carburant, et une réforme des retraites (baisse des pensions ou allongement des cotisations).
Malgré le refus de toute hausse d'impôt affiché pour l'instant par le gouvernement espagnol, ces recommandations prouvent que l'Espagne n'a sans doute pas encore fini de payer le prix du soutient apporté par la Communauté Européenne pour le sauvetage de son système financier. Une surveillance qui n'est pas si loin d'une mise sous tutelle.