
L'Espagne enregistre le plus grand nombre de cas de l'Union européenne (photo : Ministère espagnol de la Santé)
Voir aussi
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
La Cnuced s'alarme de l'augmentation du chômage et de la pauvreté en Palestine
-
L'UE a débloqué 53,7 mrds€ pour aider ses pays partenaires à absorber les conséquences de la Covid-19
-
La production d'électricité solaire européenne a atteint un record pendant l'été 2022
-
Aquila Clean Energy va investir 2 mrds€ dans les énergies renouvelables en Espagne et au Portugal
ESPAGNE. Selon le ministère espagnol de la Santé, l'Espagne (47 millions d'habitants) a dépassé, mercredi 21 octobre 2020, le cap des un million de personnes touchées par la Covid-19 avec un bilan de 1 005 295 cas. Les seules dernières 24 heures ont grossi ce chiffre de 16 973 cas, alors que 156 décès étaient constatés (34 366 depuis le début de la pandémie).
L'Espagne est le premier pays de l'Union européenne a atteindre ce chiffre et seulement le septième mondial derrière l'Argentine, la Russie, le Brésil, l'Inde et les Etats-Unis. Elle se positionne dans ce domaine juste devant la France annoncée par le CSSE de l'université Johns Hopkins, à 1 000 369 cas (pour 34 075 décès) au 22 octobre 2020 à 10h24 (heure française), et par le ministère français de la Santé à 957 421 cas (pour 34 038 décès) au 21 octobre 2020 à 14h.
Le premier cas espagnol avait été enregistré le 31 janvier 2020 sur l'île de la Goméra, dans l'archipel des Canaries. Depuis, le coronavirus a conquis l'ensemble du pays et les restrictions se multiplient tandis que déferle une seconde vague. L'épicentre se trouve dans la région de Madrid. La capitale espagnole, ainsi que neuf villes voisines (Fuenlabrada, Parla, Alcobendas, Torrejón de Ardoz, Getafe, Alcorcón, Leganés, Móstoles et Alcalá de Henares), se trouve actuellement en semi-confinement. Tout comme plusieurs autres communes et même régions entières, notamment la Navarre et la Rioja. D'autres appliquent des mesures pour limiter l'expansion de la Covid-19. Ainsi, la Catalogne a décidé, depuis le 15 octobre 2020 et pour une période minimum de quinze jours, de fermer tous ses bars et restaurants.
Si les régions demeurent seules compétentes en matière de santé, le gouvernement de gauche espagnol, après un bras de fer avec la région capitale dirigée par une opposante (Isabel Diaz Ayuzo - Droite), a proclamé de nouvelles restrictions. Le tribunal supérieur de justice de Madrid (TSJM) a même rejeté ce confinement partiel imposé par les autorités espagnoles arguant qu'il "nuit aux droits et libertés fondamentales" des habitants concernés.
L'Espagne est le premier pays de l'Union européenne a atteindre ce chiffre et seulement le septième mondial derrière l'Argentine, la Russie, le Brésil, l'Inde et les Etats-Unis. Elle se positionne dans ce domaine juste devant la France annoncée par le CSSE de l'université Johns Hopkins, à 1 000 369 cas (pour 34 075 décès) au 22 octobre 2020 à 10h24 (heure française), et par le ministère français de la Santé à 957 421 cas (pour 34 038 décès) au 21 octobre 2020 à 14h.
Le premier cas espagnol avait été enregistré le 31 janvier 2020 sur l'île de la Goméra, dans l'archipel des Canaries. Depuis, le coronavirus a conquis l'ensemble du pays et les restrictions se multiplient tandis que déferle une seconde vague. L'épicentre se trouve dans la région de Madrid. La capitale espagnole, ainsi que neuf villes voisines (Fuenlabrada, Parla, Alcobendas, Torrejón de Ardoz, Getafe, Alcorcón, Leganés, Móstoles et Alcalá de Henares), se trouve actuellement en semi-confinement. Tout comme plusieurs autres communes et même régions entières, notamment la Navarre et la Rioja. D'autres appliquent des mesures pour limiter l'expansion de la Covid-19. Ainsi, la Catalogne a décidé, depuis le 15 octobre 2020 et pour une période minimum de quinze jours, de fermer tous ses bars et restaurants.
Si les régions demeurent seules compétentes en matière de santé, le gouvernement de gauche espagnol, après un bras de fer avec la région capitale dirigée par une opposante (Isabel Diaz Ayuzo - Droite), a proclamé de nouvelles restrictions. Le tribunal supérieur de justice de Madrid (TSJM) a même rejeté ce confinement partiel imposé par les autorités espagnoles arguant qu'il "nuit aux droits et libertés fondamentales" des habitants concernés.