Ne manquez pas !
-
Tarak Chérif devient président d'Anima Investment Network
-
Israël vaccinera les Palestiniens détenteurs d'un permis de travail contre la Covid-19
-
"Les gains d’efficacité économique associés aux réformes commerciales dépendront en grande partie de la mobilité"
-
L'UE et le Qatar financeront à hauteur de 70 M€ un gazoduc entre Israël et la Bande de Gaza
MEDITERRANEE. Après 4 000 miles parcourus lors de son tour de France en 2017, l'Energy Observer va poursuivre son périple en Méditerranée où son équipage composé de huit personnes dont six marins devrait naviguer pendant toute l'année 2018.
Le catamaran propulsé par un mix énergétique éolien, solaire et hydrogène va se rendre depuis Marseille en Corse, en Italie, en Tunisie, en Israël, en Égypte.
Cet ancien bateau de course de 30 mètres de long pour 13 mètres de large a été transformé en laboratoire flottant pour un coût de 5 M€ (acquisition, R&D, transformation et équipement du bateau). Son capitaine, Victorien Erussard entend prouver l'efficacité des énergies renouvelables avec ce navire produisant toute son alimentation d'énergie à bord et dégageant zéro pollution. Equipé de panneaux solaires bifaciaux et disposant d'une station fonctionnant à l'eau de mer désalinisée qui alimente une pile à combustible pour obtenir de l'hydrogène, l'Energy Observer est entièrement autonome.
Lors de son escale à Marseille, mercredi 28 mars 2018, Victorien Erussard a pu nouer deux partenariats : avec Engie pour une enveloppe de 600 000 € par an jusqu'en 2022 et avec la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour un montant non dévoilé. Ces sommes vont permettre de financer une partie du coût de l'expédition méditerranéenne qui se poursuivra dans la mer du Nord en 2019. " Il nous faudrait encore convaincre six partenaires de rang 2 (300 000€/ an) et dix partenaires de rang trois (100 000€/ an)", souligne Marin Jarry, second capitaine de l’Energy Observer et ancien navigant sur le Club Med.
Le projet - qui mobilise une trentaine de personnes autour du chef d'expédition Jérôme Delafosse - durera six ans (2017-2022) avec 101 escales dans cinquante pays pour sensibiliser le plus grand nombre à la transition vers les énergies renouvelables mais aussi la biodiversité, la mobilité et l'économie circulaire.
Le catamaran propulsé par un mix énergétique éolien, solaire et hydrogène va se rendre depuis Marseille en Corse, en Italie, en Tunisie, en Israël, en Égypte.
Cet ancien bateau de course de 30 mètres de long pour 13 mètres de large a été transformé en laboratoire flottant pour un coût de 5 M€ (acquisition, R&D, transformation et équipement du bateau). Son capitaine, Victorien Erussard entend prouver l'efficacité des énergies renouvelables avec ce navire produisant toute son alimentation d'énergie à bord et dégageant zéro pollution. Equipé de panneaux solaires bifaciaux et disposant d'une station fonctionnant à l'eau de mer désalinisée qui alimente une pile à combustible pour obtenir de l'hydrogène, l'Energy Observer est entièrement autonome.
Lors de son escale à Marseille, mercredi 28 mars 2018, Victorien Erussard a pu nouer deux partenariats : avec Engie pour une enveloppe de 600 000 € par an jusqu'en 2022 et avec la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour un montant non dévoilé. Ces sommes vont permettre de financer une partie du coût de l'expédition méditerranéenne qui se poursuivra dans la mer du Nord en 2019. " Il nous faudrait encore convaincre six partenaires de rang 2 (300 000€/ an) et dix partenaires de rang trois (100 000€/ an)", souligne Marin Jarry, second capitaine de l’Energy Observer et ancien navigant sur le Club Med.
Le projet - qui mobilise une trentaine de personnes autour du chef d'expédition Jérôme Delafosse - durera six ans (2017-2022) avec 101 escales dans cinquante pays pour sensibiliser le plus grand nombre à la transition vers les énergies renouvelables mais aussi la biodiversité, la mobilité et l'économie circulaire.