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Thamar Al-Mahdi, DG d’Orascom Télécom Algérie (OTA) (photo DR)
ALGERIE / EGYPTE. Le groupe égyptien Orascom Télécom a obtenu le feu vert des pouvoirs publics algériens afin de transférer 50% du total des dividendes réalisés en 2008 par sa filiale algérienne, OTA (Orascom Télécom Algérie).
Cela représente un montant de 257 M$ (177 M€). Le quitus fiscal lui a finalement été délivré par la direction des Impôts. Le groupe égyptien, leader sur le marché algérien de la téléphonie mobile, procèdera au transfert dès réception des documents par le service des impôts.
Fin août 2009, le responsable du groupe en Algérie avait déclaré que ce transfert avait été bloqué. Il semble que les pouvoirs publics lui reprochaient d’avoir fortement réduit ses investissements en Algérie, et d’avoir vendu une cimenterie au groupe français Lafarge sans en avoir informé les autorités.
L’administration algérienne avait donc fait jouer les nouvelles dispositions, entrées en application au début de l’année 2009, qui obligent tout groupe étranger à obtenir un quitus fiscal préalable pour pouvoir transférer une partie de ses dividendes.
Lire aussi : Rien ne va plus entre Orascom Télécom et les autorités algériennes
Cela représente un montant de 257 M$ (177 M€). Le quitus fiscal lui a finalement été délivré par la direction des Impôts. Le groupe égyptien, leader sur le marché algérien de la téléphonie mobile, procèdera au transfert dès réception des documents par le service des impôts.
Fin août 2009, le responsable du groupe en Algérie avait déclaré que ce transfert avait été bloqué. Il semble que les pouvoirs publics lui reprochaient d’avoir fortement réduit ses investissements en Algérie, et d’avoir vendu une cimenterie au groupe français Lafarge sans en avoir informé les autorités.
L’administration algérienne avait donc fait jouer les nouvelles dispositions, entrées en application au début de l’année 2009, qui obligent tout groupe étranger à obtenir un quitus fiscal préalable pour pouvoir transférer une partie de ses dividendes.
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