
Un nouveau pas vers la démocratie est franchi avec la levée de l'état d'urgence (photo F.Dubessy)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Crédit Agricole devient majoritaire dans le capital de sa filiale égyptienne
EGYPTE. Un an après la destitution d'Hosni Moubarak, le maréchal Hussein Tantaoui a décidé de lever l'état d'urgence en vigueur depuis plus de trente ans, après l'assassinat d'Anouar el-Sadate en octobre 1981 pendant une parade militaire.
Le chef de l'armée, actuel dirigeant du CSFA (conseil suprême des forces armées qui gouverne provisoirement le pays, a annoncé, mardi 24 janvier 2012 dans une allocution télévisée, que l'état d'urgence serait levé le mercredi 25 janvier 2012, "sauf en cas de lutte contre des délits violents" a-t-il précisé.
L'état d'urgence englobait des restrictions aux libertés publiques et des jugements devant des tribunaux d'exception dont a abusé l'ancien pouvoir d'Hosni Moubarak.
Réclamée par les organisations des droits de l'homme, la levée de l'état d'urgence avait été promise par l'armée lors de départ d'Hosni Moubarak, "une fois que la situation serait stabilisée". Elle devait intervenir avant juin 2012.
Le chef de l'armée, actuel dirigeant du CSFA (conseil suprême des forces armées qui gouverne provisoirement le pays, a annoncé, mardi 24 janvier 2012 dans une allocution télévisée, que l'état d'urgence serait levé le mercredi 25 janvier 2012, "sauf en cas de lutte contre des délits violents" a-t-il précisé.
L'état d'urgence englobait des restrictions aux libertés publiques et des jugements devant des tribunaux d'exception dont a abusé l'ancien pouvoir d'Hosni Moubarak.
Réclamée par les organisations des droits de l'homme, la levée de l'état d'urgence avait été promise par l'armée lors de départ d'Hosni Moubarak, "une fois que la situation serait stabilisée". Elle devait intervenir avant juin 2012.