
Plusieurs groupes de travail tentent d'ébaucher ce que sera la future Assemblée nationale (photo : Assemblée nationale)
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FRANCE. Il est Parisien et pourtant... Le député Adrien Taquet a proposé - dans une note sur le site de la Fondation Jean-Jaurès (Faut-il raser le Palais Bourbon ?) reprise par une tribune publiée lundi 14 novembre 2017 par le Huffington post - de "faire de Marseille la nouvelle capitale législative de notre pays."
Selon le député de La République En Marche (LREM) des Hauts-de-Seine, "le Palais Bourbon est une hérésie architecturale au regard des standards contemporains, du bien-être et de l'efficacité au travail. Le confort remonte au XIXe siècle, la connectivité au XXe." Il ne propose donc ni plus ni moins que d'abandonner le site historique parisien pour délocaliser ses confrères dans la cité phocéenne.
En attendant que l'hypothétique (utopique ?) déménagement se fasse, Adrien Taquet suggère de "siéger une fois par mois loin de Paris. Symbolique diront certains, mais cela permettra de mettre une région à l'honneur tout en rapprochant les citoyens de leurs représentants." Mieux, il envisage pour le futur que "chaque député accèdera, via une interface, à un Parlement virtuel où chacun de ses collègues apparaîtra à l'écran, débattant mais à distance. On pourra s'échanger en direct des documents qui se réfèrent à la loi en discussion, communiquer via des chats..."
Ce texte est destiné à alimenter les débats dans le cadre de la consultation "pour une nouvelle assemblée nationale" lancée par son président François de Rugy. Du lundi 13 novembre 2017 au jeudi 16 novembre 2017, cinq groupes de travail organisent des auditions et tables rondes sur le statut du député, les conditions de travail et collaborateurs, la procédure législative et les droits de l'opposition, les moyens de contrôle et d'évaluation, l'ouverture et le rayonnement. L'objectif est dépoussiérer l'institution en la réformant sur la période 2017-2022.
Selon le député de La République En Marche (LREM) des Hauts-de-Seine, "le Palais Bourbon est une hérésie architecturale au regard des standards contemporains, du bien-être et de l'efficacité au travail. Le confort remonte au XIXe siècle, la connectivité au XXe." Il ne propose donc ni plus ni moins que d'abandonner le site historique parisien pour délocaliser ses confrères dans la cité phocéenne.
En attendant que l'hypothétique (utopique ?) déménagement se fasse, Adrien Taquet suggère de "siéger une fois par mois loin de Paris. Symbolique diront certains, mais cela permettra de mettre une région à l'honneur tout en rapprochant les citoyens de leurs représentants." Mieux, il envisage pour le futur que "chaque député accèdera, via une interface, à un Parlement virtuel où chacun de ses collègues apparaîtra à l'écran, débattant mais à distance. On pourra s'échanger en direct des documents qui se réfèrent à la loi en discussion, communiquer via des chats..."
Ce texte est destiné à alimenter les débats dans le cadre de la consultation "pour une nouvelle assemblée nationale" lancée par son président François de Rugy. Du lundi 13 novembre 2017 au jeudi 16 novembre 2017, cinq groupes de travail organisent des auditions et tables rondes sur le statut du député, les conditions de travail et collaborateurs, la procédure législative et les droits de l'opposition, les moyens de contrôle et d'évaluation, l'ouverture et le rayonnement. L'objectif est dépoussiérer l'institution en la réformant sur la période 2017-2022.