Voir aussi
-
Eni acquiert les activités de BP en Algérie
-
Abdoulaye Bathily devient le nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu en Libye
-
Europlasma s'engage dans le traitement en France des déchets d'amiante algériens
-
L'Algérie demande des négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario
-
La France et la Tunisie s'accordent pour normaliser la délivrance des visas
ALGÉRIE. Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a déclaré jeudi 18 septembre 2014 que le Conseil des participations de l’État (CPE) a adopté "un plan de développement de près de 1 mrd$ (777 M€) " en faveur du complexe sidérurgique d’Annaba (600 km à l’est d’Alger). Le site est passé, depuis un an, sous le contrôle de l’État algérien par le biais du groupe public Sider et du Fonds national d’investissement (FNI) qui détiennent 51% des parts contre 49% au géant mondial de l’acier.
L’objectif de cet investissement est de porter la production du complexe sidérurgique à deux millions de tonnes d’acier alors que la production a difficilement atteint les 580 000 tonnes en 2012. La situation du complexe, qui emploie plus de 5 000 salariés, s’est encore dégradée avec l’arrêt du haut-fourneau n°2 qui se trouve hors service depuis deux mois.
Depuis sa privatisation en 2001 au profit du groupe indien MittalSteel devenu par la suite ArcelorMittal, le complexe d’El Hadjar n’a jamais réussi à atteindre le un million de tonnes d’acier que produisait l’ancien groupe public algérien.
L’objectif de cet investissement est de porter la production du complexe sidérurgique à deux millions de tonnes d’acier alors que la production a difficilement atteint les 580 000 tonnes en 2012. La situation du complexe, qui emploie plus de 5 000 salariés, s’est encore dégradée avec l’arrêt du haut-fourneau n°2 qui se trouve hors service depuis deux mois.
Depuis sa privatisation en 2001 au profit du groupe indien MittalSteel devenu par la suite ArcelorMittal, le complexe d’El Hadjar n’a jamais réussi à atteindre le un million de tonnes d’acier que produisait l’ancien groupe public algérien.