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Les annulations sont expliquées par l’inéligibilité des soumissionnaires (photo DR)
ALGERIE. Onze appels d’offres nationaux et internationaux pour l’étude de lignes ferroviaires électrifiées ont été annulés a annoncé le 14 décembre 2010 l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif).
Ces études concernant la construction de quelques 2 000 km de chemins de fer dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux ont été déclarés infructueux pour « motif d’inéligibilité des soumissionnaires ».
Quatre des appels d’offres annulés touchent des sociétés étrangères dont l’attribution provisoire n’a pas été validée par la Commission nationale des marchés publics.
Il s’agit des bureaux d’études canadien Dessau (deux contrats), du bureau d’études espagnol Getinsa (un contrat) et du sud-coréen Saman-Hanguk-Dongsan-Geyongin (un contrat).
Les nouveaux appels d’offres que cette annulation entraîne se réaliseront dans une toute nouvelle conjoncture marqué par l’adoption de la loi de Finances complémentaire (LFC) 2010 qui stipule que l’obtention de contrats publics par des groupes étrangers est désormais subordonnée à un engagement à investir avec un partenaire qui est « une entreprise de droit algérien, dont le capital est détenu majoritairement par des nationaux résidents ».
Ces études concernant la construction de quelques 2 000 km de chemins de fer dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux ont été déclarés infructueux pour « motif d’inéligibilité des soumissionnaires ».
Quatre des appels d’offres annulés touchent des sociétés étrangères dont l’attribution provisoire n’a pas été validée par la Commission nationale des marchés publics.
Il s’agit des bureaux d’études canadien Dessau (deux contrats), du bureau d’études espagnol Getinsa (un contrat) et du sud-coréen Saman-Hanguk-Dongsan-Geyongin (un contrat).
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