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Il serait toutefois téméraire d’affirmer que le pays est à l’abri ...(photo DR)
ALGÉRIE. Avec des réserves de change avoisinant les 155 mds $ soit 117 mds€ et un Fonds de régulation des recettes de 4 800 mds DZDsoit 48,64 mds€ à fin 2010, l’Algérie ne semble pas avoir trop de souci à se faire, selon le directeur général de la Prévision et des politiques au ministère des Finances qui intervenait le 5 janvier 2011 sur les ondes d’Alger chaine III.
Sa croissance devrait s’établir aux alentours de 4% (6% hors hydrocarbures).
Il serait toutefois téméraire d’affirmer que le pays est à l’abri car deux dangers le guettent.
Le premier est celui de l’inflation.
Celle-ci a certes chuté à 4% en 2010 après avoir atteint les 5,7% en 2009, mais tout semble indiquer que son taux pourrait s’élever fortement en 2011, en dépit de la loi de Finances qui avance un chiffre de 3,5%.
En cause, une flambée des prix des produits de base (huile, légumes secs…) sur le marché international.
Le second danger est celui du déficit budgétaire du fait des dépenses de fonctionnement et d’équipement qui devraient s’élever à plus de 6 000 mds DZD soit 60,48 mds €.
Sa croissance devrait s’établir aux alentours de 4% (6% hors hydrocarbures).
Il serait toutefois téméraire d’affirmer que le pays est à l’abri car deux dangers le guettent.
Le premier est celui de l’inflation.
Celle-ci a certes chuté à 4% en 2010 après avoir atteint les 5,7% en 2009, mais tout semble indiquer que son taux pourrait s’élever fortement en 2011, en dépit de la loi de Finances qui avance un chiffre de 3,5%.
En cause, une flambée des prix des produits de base (huile, légumes secs…) sur le marché international.
Le second danger est celui du déficit budgétaire du fait des dépenses de fonctionnement et d’équipement qui devraient s’élever à plus de 6 000 mds DZD soit 60,48 mds €.