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ALGÉRIE. L’enveloppe des IDE (investissements directs étrangers) consacrés au secteur de l'énergie en Algérie entre 2010 et 2015 atteint 14,01 mrds$ (12,47 mrds€), soit une moyenne de 2 mrds € par an. 99% d’entre eux bénéficient au secteur des hydrocarbures, le reste (99 M€) va vers d’autres branches énergétiques et le dessalement d’eau de mer.
Les investissements des groupes italiens dans les hydrocarbures algériens se montent à 3,1 mrds$ (2,75 mrds€) entre 2010 et 2015. Ils sont ainsi devenus les premiers investisseurs étrangers, devançant les Britanniques (1,9 mrds€). La France a investi 600 M€ en Algérie, de même que l’Espagne.
Les entreprises italiennes restent principalement présentes dans le développement des gisements d’hydrocarbures. Elles pèsent 83% des IDE de ce secteur soit 10 mrds € entre 2010 et 2015. ENI, fournisseur de gaz italien, accapare 26% de ce marché.
En Algérie, les hydrocarbures représentent 60% du budget de l’Etat, mais aussi 95% des exportations.
Dimanche 5 juin 2016, Sid Ali Betata, président du comité exécutif de l’agence nationale pour la promotion des ressources en hydrocarbures (ALNAFT), annonçait que « seulement 40% des capacités en hydrocarbures dans le pays étaient prospectés ». Ce potentiel se concentre dans les bassins du Sahara central et du sud-ouest algérien. Sid Ali Betata affirme que 1,5 million de km² sont exploitables et que 60% de ce domaine est ouvert à l’exploitation pour les sociétés étrangères. Une richesse qui, si elle était exploitée, irait à l'encontre des engagements pris durant la Cop 21.
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Dimanche 5 juin 2016, Sid Ali Betata, président du comité exécutif de l’agence nationale pour la promotion des ressources en hydrocarbures (ALNAFT), annonçait que « seulement 40% des capacités en hydrocarbures dans le pays étaient prospectés ». Ce potentiel se concentre dans les bassins du Sahara central et du sud-ouest algérien. Sid Ali Betata affirme que 1,5 million de km² sont exploitables et que 60% de ce domaine est ouvert à l’exploitation pour les sociétés étrangères. Une richesse qui, si elle était exploitée, irait à l'encontre des engagements pris durant la Cop 21.