
Le capteur de Nanoz mesure 1,9 mm sur 1,9 mm (photo : Nanoz)
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FRANCE. Après cinq ans de R&D et deux ans de pré-industralisation de son nanocapteur de gaz à semi-conducteur, la société Nanoz vient de boucler sa première levée de fonds. D'un montant de 1,5 M€, elle est réalisée auprès du fonds de dotation des industries françaises de la micro et nanoélectronique Foreis, de Région Sud Investissement (fonds de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - ex-Paca Investissement - dont la gestion est confiée à Turenne Capital), de Provence Business Angels (PBA), du pôle SCS (Solutions communicantes sécurisées), de la Banque publique d'investissement (BPI) et de la SATT Sud-Est (Société d'accélération du transfert des technologies).
L'entreprise basée à Rousset (près d'Aix-en-Provence) développe le "premier nanocapteur sélectif du marché des capteurs de gaz à semi-conducteur" destiné à permettre aux objets connectés ou aux smartphones de détecter des gaz - comme le monoxyde de carbone, gaz inodore - mais aussi de mesurer la qualité de l'air. D'une taille de seulement 1,9 mm sur 1,9 mm, il possède en outre comme avantages concurrentiels une faible consommation, un coût peu élevé et sa fonction de sélectivité des gaz.
Sa conception repose sur la technologie MOx (Metal Oxyde) sur Silicium développée avec l'Institut Matériaux Microélectroniques Nanosciences de Provence (IM2PN).
Créée en mars 2012, Nanoz (7 salariés et 2 recrutements en cours) prévoit une croissance à trois chiffres en 2019 grâce au démarrage de sa production en série décidé après un premier contrat avec une entreprise du CAC 40 dont le nom reste pour l'instant confidentiel.
Fondateur de Nanoz, Thibaud Sellam envisage un très large spectre de commercialisation. "Véhicules, environnement, consumer electronics, process industriel, sur chacun de ces marchés notre technologie permet des applications qui étaient impossible à réaliser avant", commente-t-il.
L'entreprise basée à Rousset (près d'Aix-en-Provence) développe le "premier nanocapteur sélectif du marché des capteurs de gaz à semi-conducteur" destiné à permettre aux objets connectés ou aux smartphones de détecter des gaz - comme le monoxyde de carbone, gaz inodore - mais aussi de mesurer la qualité de l'air. D'une taille de seulement 1,9 mm sur 1,9 mm, il possède en outre comme avantages concurrentiels une faible consommation, un coût peu élevé et sa fonction de sélectivité des gaz.
Sa conception repose sur la technologie MOx (Metal Oxyde) sur Silicium développée avec l'Institut Matériaux Microélectroniques Nanosciences de Provence (IM2PN).
Créée en mars 2012, Nanoz (7 salariés et 2 recrutements en cours) prévoit une croissance à trois chiffres en 2019 grâce au démarrage de sa production en série décidé après un premier contrat avec une entreprise du CAC 40 dont le nom reste pour l'instant confidentiel.
Fondateur de Nanoz, Thibaud Sellam envisage un très large spectre de commercialisation. "Véhicules, environnement, consumer electronics, process industriel, sur chacun de ces marchés notre technologie permet des applications qui étaient impossible à réaliser avant", commente-t-il.