
Le Point Info Énergie de Chefchaouen (photo GERES)
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MAROC / FRANCE. Lancé en janvier 2012, le jumelage qui a réuni, dans le cadre de la politique de voisinage de l’Union européenne, du marocain ADEREE (Agence nationale marocaine pour le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique), du français ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et le ministère allemand de l’économie et de l’énergie, vient de se refermer.
Doté d’un budget de 1,3 M€, il aura permis d’aider l’ADEREE, qui a pris le relais en 2011 de l’ex-Centre marocain de développement des énergies renouvelables, à se structurer et à développer la partie de son activité consacrée à l’efficacité énergétique.
En termes d’actions, le partenariat, auquel auront participé quarante experts français et dix allemands, aura notamment conduit à la formation de formateurs et de bureaux d’études dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie, à l’élaboration d’une étiquette-énergie pour les climatiseurs et les réfrigérateurs, à la réalisation d’audits énergétiques dans une cinquantaine d’entreprises ainsi qu’à la mise en place de campagnes de sensibilisation à destination du grand public.
« Le jumelage s’est aussi accompagné d’un volet territorial, complète Thierry Meraud, en charge du programme pour le compte de l’ADEME, grâce à la transposition d’outils tels que les Plans climat énergie ou les diagnostics de l’éclairage public. Un Point Info Énergie a également été ouvert à Chefchaouen. »
Le Maroc, confronté à une croissance de sa consommation d’énergie de 4,3 % par an, souhaiterait désormais embrayer sur une phase 2 du jumelage, qui serait dédiée à la problématique du transport. Selon Thierry Meraud, « celle-ci pourrait commencer en 2015 ou 2016. »
Lire aussi : Le Maroc prévoit de faire 12 % d'économie d'énergie d'ici 2020
Doté d’un budget de 1,3 M€, il aura permis d’aider l’ADEREE, qui a pris le relais en 2011 de l’ex-Centre marocain de développement des énergies renouvelables, à se structurer et à développer la partie de son activité consacrée à l’efficacité énergétique.
En termes d’actions, le partenariat, auquel auront participé quarante experts français et dix allemands, aura notamment conduit à la formation de formateurs et de bureaux d’études dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie, à l’élaboration d’une étiquette-énergie pour les climatiseurs et les réfrigérateurs, à la réalisation d’audits énergétiques dans une cinquantaine d’entreprises ainsi qu’à la mise en place de campagnes de sensibilisation à destination du grand public.
« Le jumelage s’est aussi accompagné d’un volet territorial, complète Thierry Meraud, en charge du programme pour le compte de l’ADEME, grâce à la transposition d’outils tels que les Plans climat énergie ou les diagnostics de l’éclairage public. Un Point Info Énergie a également été ouvert à Chefchaouen. »
Le Maroc, confronté à une croissance de sa consommation d’énergie de 4,3 % par an, souhaiterait désormais embrayer sur une phase 2 du jumelage, qui serait dédiée à la problématique du transport. Selon Thierry Meraud, « celle-ci pourrait commencer en 2015 ou 2016. »
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