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UNION EUROPÉENNE. Jean-Claude Juncker a estimé nécessaire de faire une mise au point au lendemain de son discours sur l'état de l'Union. Le président de la Commission européenne y indiquait que tous les Etats membres de l'Union européenne devraient avoir la possibilité d'adopter l'euro.
Jeudi 14 septembre 2017, lors d'une interview sur Youtube, Jean-Claude Juncker a tenu à préciser que "les traités européens prévoient que – à l'exception du Danemark et du Royaume-Uni qui ne souhaitent pas disposer de l'euro – tous les États membres devraient avoir la possibilité d'intégrer la zone euro. Hier, je n'ai ni exigé, ni insisté, pour que le lendemain même à 11 h, tous les pays adoptent l'euro. Je suis étonné par bon nombre d'articles dans la presse, y compris la presse allemande. Ce que j'ai dit, c'est que les pays qui ne l'ont pas encore adopté, mais qui le souhaiteraient, doivent avoir la possibilité de le faire." Il prévoit notamment la "création d'un instrument d'adhésion à l'euro, offrant une assistance de pré-adhésion technique et parfois financière."
Le président de la Commission européenne affirme ne pas avoir "l'intention de contraindre les pays qui ne veulent pas ou ne peuvent pas intégrer la zone euro à y entrer... Les critères imposent une discipline européenne. Et on voit bien que certains pays ne sont pas encore prêts à s'embarquer dans cela."
Par contre, il confirme que "l'euro a vocation à devenir la monnaie unique de toute l'Union européenne" et qu'il faut "lui donner une autre envergure que la monnaie d'un petit club de pays."
Jeudi 14 septembre 2017, lors d'une interview sur Youtube, Jean-Claude Juncker a tenu à préciser que "les traités européens prévoient que – à l'exception du Danemark et du Royaume-Uni qui ne souhaitent pas disposer de l'euro – tous les États membres devraient avoir la possibilité d'intégrer la zone euro. Hier, je n'ai ni exigé, ni insisté, pour que le lendemain même à 11 h, tous les pays adoptent l'euro. Je suis étonné par bon nombre d'articles dans la presse, y compris la presse allemande. Ce que j'ai dit, c'est que les pays qui ne l'ont pas encore adopté, mais qui le souhaiteraient, doivent avoir la possibilité de le faire." Il prévoit notamment la "création d'un instrument d'adhésion à l'euro, offrant une assistance de pré-adhésion technique et parfois financière."
Le président de la Commission européenne affirme ne pas avoir "l'intention de contraindre les pays qui ne veulent pas ou ne peuvent pas intégrer la zone euro à y entrer... Les critères imposent une discipline européenne. Et on voit bien que certains pays ne sont pas encore prêts à s'embarquer dans cela."
Par contre, il confirme que "l'euro a vocation à devenir la monnaie unique de toute l'Union européenne" et qu'il faut "lui donner une autre envergure que la monnaie d'un petit club de pays."