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FRANCE. Sur un site du quartier des Aygalades à Marseile, occupé aujourd'hui par l'Assistance publique des Hôpitaux de Marseille (APHM) et des entreprises de transport et de packaging, Jaguar Network va construire un "campus numérique".
Créé en 2001, l'opérateur télécoms phocéen (75% de son capital est détenu depuis 2019 par Iliad, la maison mère de Free) va investir 100 M€ dans ce projet baptisé "Theodora". Kevin Polizzi, fondateur du groupe spécialisé dans le cloud, la téléphonie et la fibre pour les entreprises, veut bâtir un pôle bioclimatique dédié à l'économie 2.0, d'environ 27 000 m², sur le modèle californiens des géants de l'Internet. Il en a dévoilé les principales caractéristiques jeudi 5 mars 2020.
Le "campus numérique" comprendra principalement des bureaux en open space organisés autour de patios propices à l’échange, des laboratoires de recherche, un business center, des espaces de coworking, et un showroom de l'innovation. Un phalanstère dédié au digital sera inclus dans un parc humide irrigué par le ruisseau des Aygalades qui constitue l’épine dorsale du futur parc éponyme. Cette coulée verte deviendra la matrice de l’extension d’Euromediterranée (opération de rénovation urbaine). Le campus s'organisera autour de cinq bâtiments en R+4 (et un optionnel) posés sur deux niveaux de parking de 350 places.
Conçu par les agences Carta & Associés (Marseille) et VLEG (Martigues), "Theodora" devrait permettre la création d’un millier d’emplois directs selon Jaguar Network et de 2 500 autour de « l’écosystème digital » que le groupe marseillais et Iliad veulent voir émerger dans cette zone arrière-portuaire en pleine mutation sous la houlette de l'Etablissement public d'aménagement ’Euroméditerranée (EPAEM).
"Le bâtiment sera à l’image de l’économie numérique : adaptable, souple,... il devra être à même d’évoluer au gré des besoins des utilisateurs dans une logique frugale low cost-easy tech", indique l’architecte Roland Carta. Cette sobriété s’étend également à l’empreinte carbone du bâti. il visera la neutralité grâce notamment à son raccordement au complexe à Massileo, la boucle de thalassothermie voisine qui alimente l’Ecocité Euromed’ II. Les immeubles seront sur pilotis, car le site se trouve en zone inondable.
Les premiers travaux débuteront en 2021 avec un objectif de livraison en 2023.
Créé en 2001, l'opérateur télécoms phocéen (75% de son capital est détenu depuis 2019 par Iliad, la maison mère de Free) va investir 100 M€ dans ce projet baptisé "Theodora". Kevin Polizzi, fondateur du groupe spécialisé dans le cloud, la téléphonie et la fibre pour les entreprises, veut bâtir un pôle bioclimatique dédié à l'économie 2.0, d'environ 27 000 m², sur le modèle californiens des géants de l'Internet. Il en a dévoilé les principales caractéristiques jeudi 5 mars 2020.
Le "campus numérique" comprendra principalement des bureaux en open space organisés autour de patios propices à l’échange, des laboratoires de recherche, un business center, des espaces de coworking, et un showroom de l'innovation. Un phalanstère dédié au digital sera inclus dans un parc humide irrigué par le ruisseau des Aygalades qui constitue l’épine dorsale du futur parc éponyme. Cette coulée verte deviendra la matrice de l’extension d’Euromediterranée (opération de rénovation urbaine). Le campus s'organisera autour de cinq bâtiments en R+4 (et un optionnel) posés sur deux niveaux de parking de 350 places.
Conçu par les agences Carta & Associés (Marseille) et VLEG (Martigues), "Theodora" devrait permettre la création d’un millier d’emplois directs selon Jaguar Network et de 2 500 autour de « l’écosystème digital » que le groupe marseillais et Iliad veulent voir émerger dans cette zone arrière-portuaire en pleine mutation sous la houlette de l'Etablissement public d'aménagement ’Euroméditerranée (EPAEM).
"Le bâtiment sera à l’image de l’économie numérique : adaptable, souple,... il devra être à même d’évoluer au gré des besoins des utilisateurs dans une logique frugale low cost-easy tech", indique l’architecte Roland Carta. Cette sobriété s’étend également à l’empreinte carbone du bâti. il visera la neutralité grâce notamment à son raccordement au complexe à Massileo, la boucle de thalassothermie voisine qui alimente l’Ecocité Euromed’ II. Les immeubles seront sur pilotis, car le site se trouve en zone inondable.
Les premiers travaux débuteront en 2021 avec un objectif de livraison en 2023.