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BOUCHES-DU-RHÔNE. La construction du réacteur de fusion thermonucléaire expérimental à Cadarache a pris neuf ans de retard pour un coût qui devrait passer de 5 à 18,6 mrds €. Projet mondial financé par l'Union européenne, les États-Unis, la Russie, le Japon, la Chine, l'Inde et la Corée du Sud, Iter doit permettre à l'humanité de maîtriser la fusion thermonucléaire. Pour le directeur d'Iter, Bernard Bigot ces « quelques années de retard par rapport aux projets initiaux ne comptent pas » vu les enjeux et le caractère exceptionnel du projet.
Commencé en 2006, Iter ne commencera à reproduire sous forme expérimentale l'énergie du soleil qu'en 2035. D'ici là, la plupart des trente-cinq pays engagés dans le projet doivent produire les pièces de ce mécano géant qui a commencé à être assemblé à Cadarache. Un premier entrepôt de 9 000 m² est déjà opérationnel. Un second de 15 500 m² va être aménagé à Distriport, la zone logistique du Grand Port Maritime de Marseille (GPMM).
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