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ISRAEL. Le gouvernement israélien redoute un rythme de croissance de son PIB plus faible qu’en 2015 (3,4%). Les chiffres du premier trimestre (+0,8%) alertent les différentes institutions du pays alors que la population a augmenté de 1,8%.
Leo Liederman, conseiller économique de la banque Hapoalim s’est prononcé à ce sujet : « Israël flirte avec la récession économique » assure-t-il. Les prévisions de la banque israélienne passent ainsi de 2,8% de croissance sur l’année 2016 à 2,2%.
L’OCDE reste plus positif et parle d’une croissance de 2,5% pour 2016 et 3% en 2017. Pour défendre son point de vue, l’organisation explique que les taux d’intérêt bas, le prix du pétrole mais aussi le budget expansionniste d’Israël permettent ces prévisions.
Les exportations tirent vers le bas cette croissance en ce début d’année 2016. Le gouvernement annonce une chute de 21,7% tous secteurs confondus si rien ne change. Au premier trimestre 2016, les industries de pointe ont enregistré une baisse de 32,1% de leurs exportations, celles mixtes (métaux et plastiques) de 2,2%, les services aux entreprises de 6,7%.
Leo Liederman, conseiller économique de la banque Hapoalim s’est prononcé à ce sujet : « Israël flirte avec la récession économique » assure-t-il. Les prévisions de la banque israélienne passent ainsi de 2,8% de croissance sur l’année 2016 à 2,2%.
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