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Les ministres méditerranéens de l'emploi veulent promouvoir une économie au bénéfice de tous
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La guerre des câbles optiques sous-marins en Méditerranée
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Cinq pays méditerranéens figurent dans le Top 20 des dépenses militaires mondiales
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La Méditerranée orientale devient une nouvelle province gazière
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Israël reconnaît à son tour la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental
Selon lui, le nouveau gouvernement israélien n’a pas vraiment eu le temps de se consacrer à ce dossier alors qu’il est déjà débordé par de nombreux sujets cruciaux : le processus de paix et les positions du président américain Obama, l’économie, le dossier des Arabes israéliens et, avant tout, le problème iranien.
« Téhéran est la principale priorité d’Israël car même si les Palestiniens obtiennent leur Etat, l’Iran, c' est le pays qui ne reconnaît pas Israël », insiste Eran Lerman.
Mais le dossier palestinien conduit toujours à une politisation et à un blocage de tout processus de coopération intra-méditerranéen. Bref, pour Israël, le dossier Méditerranée peut attendre et ne sera pas le canevas qui pourra faire avancer les négociations avec les Palestiniens.
A moins que l’actuel ministre pour la Coopération régionale, Silvan Shalom, qui garde une certaine influence sur le parti au pouvoir, même s’il a été marginalisé par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ne trouve un intérêt dans la problématique méditerranéenne et la mette en avant.
Au sommaire de notre dossier :
L'Union pour la Méditerranée va-t-elle sortir de sa voie de garage ?
Olivier Stirn : « L’UPM doit créer un axe Euro-Afrique »
L’UPM ne fait pas recette auprès des Algériens
Gilles Pennequin : « Il ne faut pas attendre la paix pour faire des projets »
Philippe de Fontaine Vive : « Il faut accepter de ne pas passer le niveau politique »