
Le champ gaziers de Tamar et de Leviathan font désormais d'Israël une puissance énergétique (carte : DR)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
-
La Cnuced s'alarme de l'augmentation du chômage et de la pauvreté en Palestine
ISRAËL. Après les découvertes des gisements Tamar (2009) et Leviathan (2010), le gouvernement israélien veut poursuivre sa prospection de la Méditerranée à la recherche de nouveaux champs gaziers et pétroliers.
Il lance donc, mardi 15 novembre 2016, plusieurs appels d'offres pour l'exploration de vingt-quatre blocs offshore de 400 km² chacun situés dans sa zone maritime économique. "Selon les estimations, la plus grande partie du gaz naturel de la zone maritime économique reste encore à découvrir", commente Youval Steinitz, ministre israélien des infrastructures, de l'Energie et des Ressources en eau.
Selon une étude réalisée par les consultants français de Beicip Franlab, le potentiel serait de 6,6 millions de barils de brut et de 2 137 milliards de mètres cubes de gaz.
L'appel d'offres sera clos le 21 avril 2017. Les candidats devront disposer d'au moins 400 M$ d'actifs et de 100 M$ de fonds propres. Ils devront verser 50 000 $ d'honoraires et déposer 70 000 $ pour y participer.
Le champs gazier de Tamar a débuté sa production en mars 2013 et contient 238 milliards de mètres cubes de réserves. Leviathan n'entra en production qu'en 2019 et bénéficie de 535 milliards de mètres cubes de gaz et de 34,1 millions de barils de condensat. Les deux blocs sont détenus par un consortium réunissant principalement l'Américain Noble Energy et l'Israélien Delek Drilling. Les deux partenaires ne pourront pas concourir aux vingt-quatre nouveaux appels d'offres.
Lire aussi :Noble Energy va livrer 8,5 millions de mètres cubes de gaz par jour à la Jordanie
Il lance donc, mardi 15 novembre 2016, plusieurs appels d'offres pour l'exploration de vingt-quatre blocs offshore de 400 km² chacun situés dans sa zone maritime économique. "Selon les estimations, la plus grande partie du gaz naturel de la zone maritime économique reste encore à découvrir", commente Youval Steinitz, ministre israélien des infrastructures, de l'Energie et des Ressources en eau.
Selon une étude réalisée par les consultants français de Beicip Franlab, le potentiel serait de 6,6 millions de barils de brut et de 2 137 milliards de mètres cubes de gaz.
L'appel d'offres sera clos le 21 avril 2017. Les candidats devront disposer d'au moins 400 M$ d'actifs et de 100 M$ de fonds propres. Ils devront verser 50 000 $ d'honoraires et déposer 70 000 $ pour y participer.
Le champs gazier de Tamar a débuté sa production en mars 2013 et contient 238 milliards de mètres cubes de réserves. Leviathan n'entra en production qu'en 2019 et bénéficie de 535 milliards de mètres cubes de gaz et de 34,1 millions de barils de condensat. Les deux blocs sont détenus par un consortium réunissant principalement l'Américain Noble Energy et l'Israélien Delek Drilling. Les deux partenaires ne pourront pas concourir aux vingt-quatre nouveaux appels d'offres.
Lire aussi :Noble Energy va livrer 8,5 millions de mètres cubes de gaz par jour à la Jordanie