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ISRAËL. Une croissance stable à 2,5% en 2015, un taux de chômage de 5,3%, le plus bas depuis trois ans, une augmentation de 3% des salaires réels, l'économie israélienne est belle et bien repartie. Seul bémol, Israël connait en 2015 une déflation de -1%.
Dans un rapport sur la situation économique et financière du pays publié dimanche 3 avril 2016, la banque centrale d'Israël note que "la forte baisse du coût de l'énergie globale et du prix des matières premières a été positive pour l'économie." Le niveau très bas du pétrole par exemple aurait permis de baisser la facture énergétique de 5 mrds$ (4,4 mrds €) par rapport à 2013.
Par contre, l'institution attribue le taux modéré de croissance du PIB (2,6% en 2014 et donc 2,5% en 2015) à "l'atonie de l'économie mondiale qui impacte négativement les exportations israéliennes." Les prévisions pour 2016 fixent le taux de croissance à 2,8%.
Pour Benjamin Netanyahu, "Israël est parvenu au plein emploi". Le taux de chômage, de 10% en moyenne annuelle de 1995 à 2010, tombe à 5,3% (5,9% en 2014). Le pays a créé 90 000 emplois en 2015 dans les entreprises commerciales, les services financiers et le secteur public.
Karnit Flug, gouverneur de la banque centrale d'Israël, préconise une augmentation des impôts pour financer l'amélioration des services publics.
Dans un rapport sur la situation économique et financière du pays publié dimanche 3 avril 2016, la banque centrale d'Israël note que "la forte baisse du coût de l'énergie globale et du prix des matières premières a été positive pour l'économie." Le niveau très bas du pétrole par exemple aurait permis de baisser la facture énergétique de 5 mrds$ (4,4 mrds €) par rapport à 2013.
Par contre, l'institution attribue le taux modéré de croissance du PIB (2,6% en 2014 et donc 2,5% en 2015) à "l'atonie de l'économie mondiale qui impacte négativement les exportations israéliennes." Les prévisions pour 2016 fixent le taux de croissance à 2,8%.
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Karnit Flug, gouverneur de la banque centrale d'Israël, préconise une augmentation des impôts pour financer l'amélioration des services publics.