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Agence Internationale de l'Energie (AIE)
MONDE. L'Agence internationale de l'énergie (AIE ) publie, jeudi 12 avril 2012, son rapport mensuel sur la demande et la production mondiale de pétrole. L'agence constate que la production de pétrole augmente au cœur des pays de l’Opep tandis que la demande mondiale en pétrole ralentit progressivement.
L’Iran, visé par un embargo européen sur ses exportations, annonçait, en réaction, vouloir interrompre ses livraisons de brut à la Grèce et menacerait l'Espagne.
Pour compenser ce manque, les autres pays de l’Opep "carburent" davantage. Ainsi, selon l'agence, la production des pays de l'Opep atteint son niveau record depuis trois ans et demi, à 31,43 millions de barils par jour en mars 2012 soit 37% de l’offre mondiale.
La demande diminuant d'un autre côté, les prix associés à la consommation de pétrole s'apaiseraient quelque peu sur le marché pétrolier. L’agence constate ainsi que le baril perd ces derniers jours les cinq dollars (3,80 €) qu’il avait gagnés en mars 2012.
"Une hausse de la production de l'Opep combinée à l'atonie de la demande pourrait modifier les fondamentaux du marché pétrolier", estime l'agence. Mais elle laisse pour le moment inchangée sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale en 2012, à 800 000 barils par jour.
Voir aussi : La Grèce n'importe plus de pétrole venu d'Iran
L’Iran, visé par un embargo européen sur ses exportations, annonçait, en réaction, vouloir interrompre ses livraisons de brut à la Grèce et menacerait l'Espagne.
Pour compenser ce manque, les autres pays de l’Opep "carburent" davantage. Ainsi, selon l'agence, la production des pays de l'Opep atteint son niveau record depuis trois ans et demi, à 31,43 millions de barils par jour en mars 2012 soit 37% de l’offre mondiale.
La demande diminuant d'un autre côté, les prix associés à la consommation de pétrole s'apaiseraient quelque peu sur le marché pétrolier. L’agence constate ainsi que le baril perd ces derniers jours les cinq dollars (3,80 €) qu’il avait gagnés en mars 2012.
"Une hausse de la production de l'Opep combinée à l'atonie de la demande pourrait modifier les fondamentaux du marché pétrolier", estime l'agence. Mais elle laisse pour le moment inchangée sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale en 2012, à 800 000 barils par jour.
Voir aussi : La Grèce n'importe plus de pétrole venu d'Iran