EXTRAIT :
La forêt de la Maâmora, choisie comme site pilote au Maroc pour cette étude, a longtemps été considérée comme la plus vaste étendue d’un seul tenant de chêne liège au monde (132.000 ha au début de 19ème siècle). Or, la surface de cette essence est passée de 100000 ha en 1951 à 65000 ha en 1992, soit une régression spatiale de 35 % de la superficie du chêne liège durant 41 ans. Elle correspond ainsi à une perte annuelle d’environ 900 ha. La révision récente du plan d’aménagement forestier de la Maâmora comporte deux principales parties : un inventaire/état des lieux et une étude socioéconomique. Cette dernière partie comporte un diagnostic participatif au niveau des douars et l’analyse de deux types d’acteurs que sont les Associations de Gestion Sylvo-Pastorales (AGSPs) et les Groupements d’Intérêts Economiques (GIEs). Cependant, le contenu de ce plan d’aménagement n’intègre pas les dimensions et analyses participatives et reste finalement limité aux actions et aux mesures d’ordre technique qui ont montré leur inefficacité face aux enjeux posés par les différents acteurs concernés.
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