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La compagnie portugaise va connaître une grève qui devrait être très suivie (photo BL)
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PORTUGAL. Les personnels navigants de la Cie TAP vont observer deux jours de grève, jeudi 30 octobre puis samedi 1er novembre. Le mouvement à l’appel du syndicat du secteur devrait reprendre pour deux jours de débrayage le dimanche 30 novembre et le mardi 2 décembre 2014. La direction de la compagnie portugaise prévoit de fortes perturbations, elle conseille aux passagers de différer leurs voyages.
Un service minimum sera mis en place, mais sera concentré sur des destinations spécifiques : les archipels de Madère et des Açores, le Brésil, Le Mozambique et le Venezuela. Des mesures ciblées justifiées par le fait qu’il n’existe pas d’alternative de vols sur d’autres compagnies pour ces pays pour les quatre jours de grève. La TAP aurait souhaité pouvoir bénéficier du service minimum sur les destinations européennes les plus importantes : France, Belgique, Royaume-Uni, Suisse, Allemagne.
Le Syndicat du Personnel de Vol de l’Aviation Civile exige le respect de l’accord d’entreprise sur le nombre d’escales, le temps de repos, et l’octroi d’un week-end complet après six semaines de travail. Le syndicat réclame une réunion d’urgence avec le Secrétaire d’État portugais aux Transports, alors que la menace de grève pourrait s’étendre à PGA, la compagnie régionale de la TAP. La Compagnie aérienne portugaise doit être privatisée.
Un service minimum sera mis en place, mais sera concentré sur des destinations spécifiques : les archipels de Madère et des Açores, le Brésil, Le Mozambique et le Venezuela. Des mesures ciblées justifiées par le fait qu’il n’existe pas d’alternative de vols sur d’autres compagnies pour ces pays pour les quatre jours de grève. La TAP aurait souhaité pouvoir bénéficier du service minimum sur les destinations européennes les plus importantes : France, Belgique, Royaume-Uni, Suisse, Allemagne.
Le Syndicat du Personnel de Vol de l’Aviation Civile exige le respect de l’accord d’entreprise sur le nombre d’escales, le temps de repos, et l’octroi d’un week-end complet après six semaines de travail. Le syndicat réclame une réunion d’urgence avec le Secrétaire d’État portugais aux Transports, alors que la menace de grève pourrait s’étendre à PGA, la compagnie régionale de la TAP. La Compagnie aérienne portugaise doit être privatisée.
