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ITALIE. L'Italie a finalement un gouvernement. Recalé une première fois par le Président de la république Sergio Mattarella, Giuseppe Conte a revu sa copie. Il a fait bouger l'anti européen Paolo Savona du fauteuil de ministre des finances à celui de ministre des affaires européenne, et a réussi à obtenir l'approbation de Sergio Mattarella pour former un gouvernement qui rassemble extrême droite (Ligue) et extrême gauche anti-systeme (Mouvement 5 étoiles). Les populistes nationaliste sont donc au pouvoir en Italie, qui échappe ainsi à une énieme crise politique et à de nouvelles élections.
Il semble que Sergio Mattarella ait obtenu des garanties sur le maintien de l'Italie dans la zone euro. Giuseppe Conte, juriste sans expérience politique, illustre cette volonté des électeurs de chasser les partis traditionnels du pouvoir. Il doit théoriquement conduire une politique anti-austérité, anti-immigration, anti-Europe et sécuritaire. Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les deux dirigeants des partis qui forment la coalition, deviennent vice-Premiers ministres et vont ainsi pouvoir surveiller de près Giuseppe Conte.
Les marchés semblent bien réagir à cette volte face politique. La Bourse de Milan a ouvert en hausse de 2% et entraine derrière elle les places européennes.
Il semble que Sergio Mattarella ait obtenu des garanties sur le maintien de l'Italie dans la zone euro. Giuseppe Conte, juriste sans expérience politique, illustre cette volonté des électeurs de chasser les partis traditionnels du pouvoir. Il doit théoriquement conduire une politique anti-austérité, anti-immigration, anti-Europe et sécuritaire. Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les deux dirigeants des partis qui forment la coalition, deviennent vice-Premiers ministres et vont ainsi pouvoir surveiller de près Giuseppe Conte.
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