
Le tunnel transcontinental Maroc-Espagne est en projet depuis plus de 30 ans. (photo SNED)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
La production d'électricité solaire européenne a atteint un record pendant l'été 2022
MAROC / ESPAGNE. Le Maroc et l’Espagne veulent-ils encore d'un tunnel ferroviaire sous le détroit de Gibraltar ? Un rapport d’évaluation a été présenté le 5 juillet 2013, à Genève, lors d’une session du Conseil économique et social des Nations Unies (Ecosoc). Le projet, étudié par les deux pays depuis 1980, a fait l’objet d’une résolution en juillet 2011, dans laquelle le Conseil demandait aux Secrétariats exécutifs de la Commission économique pour l’Afrique et l’Europe de suivre activement le projet de liaison fixe intercontinentale et d’en présenter un rapport à la session 2013 de l’Ecosoc.
Ce rapport d'étape envisage donc toujours la construction d’un tunnel ferroviaire à double voie de 38 kilomètres de long, dont 28 sous la mer, à une profondeur de 300 mètres entre Tarifa et Malabata, près de Tanger, d’ici à 2025. Le coût du projet reste évalué à 5 mrds €. La Société d'études du détroit de Gibraltar (Maroc) et la Société d'études de la communication fixe à travers le détroit de Gibraltar (Espagne) auraient d’ores et déjà conclu à la faisabilité du projet au terme d’une campagne de forages offshore, loin des inquiétudes de 2008.
Ce rapport d'étape envisage donc toujours la construction d’un tunnel ferroviaire à double voie de 38 kilomètres de long, dont 28 sous la mer, à une profondeur de 300 mètres entre Tarifa et Malabata, près de Tanger, d’ici à 2025. Le coût du projet reste évalué à 5 mrds €. La Société d'études du détroit de Gibraltar (Maroc) et la Société d'études de la communication fixe à travers le détroit de Gibraltar (Espagne) auraient d’ores et déjà conclu à la faisabilité du projet au terme d’une campagne de forages offshore, loin des inquiétudes de 2008.