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ITALIE. Le maire de Gênes a promis un beau cadeau de Noël à ses administrés. Mais pour 2019. Inaugurant le chantier de destruction du viaduc du Polcevera (dit Morandi du nom de son architecte), théâtre de l'accident du 14 août 2018 (43 morts), Marco Bucci a annoncé qu'il serait remplacé avant la fin de l'année prochaine par un nouveau pont.
Les travaux débuteront le 31 mars 2019. Selon l'élu, cet ouvrage est nécessaire non seulement pour la ville mais "pour toute l'Italie du Nord, et j'oserais dire, pour la France et la Suisse." Il comprendra trois voies dont une d'urgence (absente du précédent ouvrage).
Un tribunal devait encore se prononcer, lundi 17 décembre 2018, sur l'autorisation des travaux de déblaiements, les vestiges se trouvant, pour l'instant, encore sous séquestre judiciaire pour établir la responsabilité de cette catastrophe. Un avis favorable a été donné pour la démolition du tronçon ouest du pont et les travaux pourront donc démarrer dès que possible.
Evalué à 19 M€, le chantier de démolition et d'évacuation des gravats a été confié à cinq entreprises italiennes. Une des deux grues utilisées a déjà servi en 2013 pour redresser et tracter le paquebot Costa Concordia après son échouage au large de la Toscane.
Mardi 18 décembre 2018, le maire de Gênes devrait annoncer, vers 16 heures, qui reconstruira le pont. 'Il peut y avoir une surprise", précisait-il.
Alors qu'Autostrada, gestionnaire du pont, s'était proposé pour reconstruire l'ouvrage en huit mois quelques jours après l'effondrement, Danilo Toninelli, ministre italien des infrastructures, déclarait quelques jours après cette proposition que "les travaux de reconstruction du pont ne pouvaient être confiés et suivis par celui qui avait juridiquement la responsabilité qu'il ne s'écroule pas (...) Ce serait une folie et irrespectueux vis-à-vis des victimes."
L'Etat italien lui enverra cependant une partie de la facture, plus importante que celle annoncée par Autostrada.
Voir aussi : Une agence simule en 3D l'effondrement du viaduc Morandi
Les travaux débuteront le 31 mars 2019. Selon l'élu, cet ouvrage est nécessaire non seulement pour la ville mais "pour toute l'Italie du Nord, et j'oserais dire, pour la France et la Suisse." Il comprendra trois voies dont une d'urgence (absente du précédent ouvrage).
Un tribunal devait encore se prononcer, lundi 17 décembre 2018, sur l'autorisation des travaux de déblaiements, les vestiges se trouvant, pour l'instant, encore sous séquestre judiciaire pour établir la responsabilité de cette catastrophe. Un avis favorable a été donné pour la démolition du tronçon ouest du pont et les travaux pourront donc démarrer dès que possible.
Evalué à 19 M€, le chantier de démolition et d'évacuation des gravats a été confié à cinq entreprises italiennes. Une des deux grues utilisées a déjà servi en 2013 pour redresser et tracter le paquebot Costa Concordia après son échouage au large de la Toscane.
Mardi 18 décembre 2018, le maire de Gênes devrait annoncer, vers 16 heures, qui reconstruira le pont. 'Il peut y avoir une surprise", précisait-il.
Alors qu'Autostrada, gestionnaire du pont, s'était proposé pour reconstruire l'ouvrage en huit mois quelques jours après l'effondrement, Danilo Toninelli, ministre italien des infrastructures, déclarait quelques jours après cette proposition que "les travaux de reconstruction du pont ne pouvaient être confiés et suivis par celui qui avait juridiquement la responsabilité qu'il ne s'écroule pas (...) Ce serait une folie et irrespectueux vis-à-vis des victimes."
L'Etat italien lui enverra cependant une partie de la facture, plus importante que celle annoncée par Autostrada.
Voir aussi : Une agence simule en 3D l'effondrement du viaduc Morandi