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EUROPE. Malgré ses promesses à l'État français lors du rachat du pôle énergie du Français Alstom finalisé en novembre 2015 de créer 1000 postes, l'Américain General Electric (GE) va supprimer 6500 emplois sur 35 000 en Europe dont 756 en France (sur 9000 salariés). Le chiffre de 10 000 suppressions dans le monde est évoqué.
Ces licenciements, sur la base du volontariat, s'effectueront dans l'ancienne filiale d'Alstom d'ici à la fin 2017 et principalement, en France, au siège de Levallois-Perret, près de Paris, et dans les activités réseaux électriques. GE confirme cependant bien vouloir créer 1000 emplois nets sur trois ans en France.
Ce plan de restructuration a été dénoncé, mercredi 13 janvier 2016 par les syndicats CGT et CFE-CGC du pôle énergie d'Alstom, qui le qualifie de "plan de licenciements boursiers."
Ces licenciements, sur la base du volontariat, s'effectueront dans l'ancienne filiale d'Alstom d'ici à la fin 2017 et principalement, en France, au siège de Levallois-Perret, près de Paris, et dans les activités réseaux électriques. GE confirme cependant bien vouloir créer 1000 emplois nets sur trois ans en France.
Ce plan de restructuration a été dénoncé, mercredi 13 janvier 2016 par les syndicats CGT et CFE-CGC du pôle énergie d'Alstom, qui le qualifie de "plan de licenciements boursiers."