
L'usine GE de Grenoble va devoir faire face à un plan de restructuration. (Photo GE)
FRANCE. Les salariés de General Electric (GE) ont appris, mardi 4 juillet 2017, que le groupe américain - qui a racheté en 2015 la branche énergie d’Alstom - va supprimer 345 emplois dans sa filiale à Grenoble.
L’information a été rapportée par « Le Parisien » qui s’est procuré un courriel interne. Envoyé aux 800 salariés du site, il annonce un plan de restructuration en préparation. « La filiale a échoué à atteindre ses objectifs financiers notamment en raison d’une structure de coût excessivement élevée » justifie l’entreprise.
Au total, General Electric supprimerait 1 000 emplois à travers la France dans sa filière hydro. La filiale de GE produit des turbines hydrauliques destinées à l'exploitation de barrages en France et dans le monde. L’Espagne serait aussi touchée par ce plan de restructuration, mais le géant américain n’a souhaité faire aucun commentaire.
Vendredi 7 juillet 2017, une rencontre est prévue avec les représentants du personnels pour détailler ce pan de réorganisation.
General Electric avait racheté Alstom pour 8,5 mrds € en 2015 et fait la promesse de créer 1 000 emplois net en France d’ici 2018.
L’information a été rapportée par « Le Parisien » qui s’est procuré un courriel interne. Envoyé aux 800 salariés du site, il annonce un plan de restructuration en préparation. « La filiale a échoué à atteindre ses objectifs financiers notamment en raison d’une structure de coût excessivement élevée » justifie l’entreprise.
Au total, General Electric supprimerait 1 000 emplois à travers la France dans sa filière hydro. La filiale de GE produit des turbines hydrauliques destinées à l'exploitation de barrages en France et dans le monde. L’Espagne serait aussi touchée par ce plan de restructuration, mais le géant américain n’a souhaité faire aucun commentaire.
Vendredi 7 juillet 2017, une rencontre est prévue avec les représentants du personnels pour détailler ce pan de réorganisation.
General Electric avait racheté Alstom pour 8,5 mrds € en 2015 et fait la promesse de créer 1 000 emplois net en France d’ici 2018.