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SYRIE. Geir Pedersen, nouvel envoyé spécial de l'Onu pour la Syrie, a pris officiellement ses fonctions, lundi 7 janvier 2019. Le diplomate norvégien âgé de soixante-trois ans, auparavant ambassadeur de Norvège en République populaire de Chine, avait été nommé fin octobre 2018. Il s'est dit "honoré d'assumer des fonctions au service du peuple syrien et de ses aspirations à la paix."
Après plusieurs postes entre 1995 et 1998 au ministère des Affaires étrangères à Oslo, Geir Pedersen a successivement été Représentant de la Norvège auprès de l'Autorité palestinienne (1998 à 2003), Représentant personnel du Secrétaire général de l'Onu pour le Sud-Liban (2005-2007), Coordonnateur spécial pour le Liban (2007-2008) et représentant permanent de son pays auprès des Nations unies à New York de 2012 à 2017.
Son prédécesseur, Staffan de Mistura, avait rappelé en décembre 2018 pour sa dernière prise de parole devant le Conseil de sécurité de l'Onu, que "après sept ans et demi, le conflit syrien est plus long que la Seconde guerre mondiale." Avant d'insister sur le fait qu'une paix pérenne était faisable. "Mais le gouvernement syrien doit montrer sa volonté d'avancer et l'opposition se montrer réaliste", précisait-t-il.
La feuille de route de Geir Pedersen est bien, comme il l'indique, d'"oeuvrer en faveur d'une solution pacifique et de la mise en oeuvre de la résolution RCS2254 (NDLR : Plan de paix pour la Syrie). Dans l'attente de consultations élargies avec les parties concernées à l'intérieur et à l'extérieur de la Syrie."
Après plusieurs postes entre 1995 et 1998 au ministère des Affaires étrangères à Oslo, Geir Pedersen a successivement été Représentant de la Norvège auprès de l'Autorité palestinienne (1998 à 2003), Représentant personnel du Secrétaire général de l'Onu pour le Sud-Liban (2005-2007), Coordonnateur spécial pour le Liban (2007-2008) et représentant permanent de son pays auprès des Nations unies à New York de 2012 à 2017.
Son prédécesseur, Staffan de Mistura, avait rappelé en décembre 2018 pour sa dernière prise de parole devant le Conseil de sécurité de l'Onu, que "après sept ans et demi, le conflit syrien est plus long que la Seconde guerre mondiale." Avant d'insister sur le fait qu'une paix pérenne était faisable. "Mais le gouvernement syrien doit montrer sa volonté d'avancer et l'opposition se montrer réaliste", précisait-t-il.
La feuille de route de Geir Pedersen est bien, comme il l'indique, d'"oeuvrer en faveur d'une solution pacifique et de la mise en oeuvre de la résolution RCS2254 (NDLR : Plan de paix pour la Syrie). Dans l'attente de consultations élargies avec les parties concernées à l'intérieur et à l'extérieur de la Syrie."