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PORTUGAL. La première livraison de GNL- Gaz Naturel Liquéfié en provenance des États-Unis a été livrée à Sines, le premier port du Portugal. En provenance de Louisiane, le méthanier Creole Spirit affrété par la Cie texane Cheniere Energy.
Il s’agit de gaz provenant de fragmentation de schiste, dont les États-Unis sont en passe de devenir les premiers producteurs mondiaux, aux côtés du Qatar et de l’Australie.
La compagnie pétrolière Galp Energia est à l’origine de la commande pour sa raffinerie dernière génération de Sines, à 170 km au sud de Lisbonne, la capitale portugaise.
Le Portugal s’est positionné comme « hub » d’entrée du gaz de schiste américain pour l’Europe occidentale. Tandis que la Turquie, veut jouer le même rôle pour l’Europe orientale.
Malgré l’opposition de pays comme la France, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz naturel, et notamment vis à vis de la Russie qui fournit 39 % du gaz européen, devant la Norvège 30 % et l’Algérie, 13 %. L’Union européenne cherche à éviter une guerre des prix gaziers comme celle vécue dans les années 2000.
La quantité livrée au Portugal représente 2 % de la consommation du pays pendant une semaine. D’autres cargaisons devraient suivre vers l’Europe, à la demande du Français EDF et du Britannique BP.
Les États-Unis, qui ont déjà livré du GNL au Brésil et en Inde, s’intéressent beaucoup au marché européen, l’Asie étant moins réceptive (crise économique chinoise, redémarrage nucléaire japonais).
Il s’agit de gaz provenant de fragmentation de schiste, dont les États-Unis sont en passe de devenir les premiers producteurs mondiaux, aux côtés du Qatar et de l’Australie.
La compagnie pétrolière Galp Energia est à l’origine de la commande pour sa raffinerie dernière génération de Sines, à 170 km au sud de Lisbonne, la capitale portugaise.
Le Portugal s’est positionné comme « hub » d’entrée du gaz de schiste américain pour l’Europe occidentale. Tandis que la Turquie, veut jouer le même rôle pour l’Europe orientale.
Malgré l’opposition de pays comme la France, l’Europe cherche à diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz naturel, et notamment vis à vis de la Russie qui fournit 39 % du gaz européen, devant la Norvège 30 % et l’Algérie, 13 %. L’Union européenne cherche à éviter une guerre des prix gaziers comme celle vécue dans les années 2000.
La quantité livrée au Portugal représente 2 % de la consommation du pays pendant une semaine. D’autres cargaisons devraient suivre vers l’Europe, à la demande du Français EDF et du Britannique BP.
Les États-Unis, qui ont déjà livré du GNL au Brésil et en Inde, s’intéressent beaucoup au marché européen, l’Asie étant moins réceptive (crise économique chinoise, redémarrage nucléaire japonais).