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Zafer Caglayan, ministre de l’économie et des Finances turc. (Photo NBC)
TURQUIE / FRANCE. Intervenant le 17 novembre 2013 à Ankara devant des entrepreneurs français et turcs, le ministre turc de l’économie et des finances Zafer Caglayan s’est félicité des nouvelles relations établies avec l’Hexagone depuis l’élection du nouveau chef de l’État en 2012. Lors de son discours devant le monde économique turc, il a d’ailleurs annoncé la visite d’État de François Hollande en Turquie. Ce déplacement, prévu pour janvier 2014, pourrait jeter les bases de nouvelles relations.
« La venue du président François Hollande devrait permettre de renouer avec la France, une amitié instaurée depuis l’empire Ottoman », a déclaré Zafer Caglayan.
S’adressant aux entrepreneurs, il a rappelé la mise en place par son gouvernement, début 2012, d’un nouveau mécanisme d’incitations fiscales pour les entreprises étrangères désireuses de s’installer en Turquie. Un système dégressif, le pays ayant été fiscalement découpé en six zones géographiques (les charges étant très basses dans la partie orientale). « Notre objectif étant de gommer les écarts entre les régions, a ajouté le ministre. Malgré la crise, la Turquie enregistre une croissance à l’export de 38% depuis quatre ans. L’année dernière, nous étions le deuxième pays exportateur vers l’Union européenne avec 152,5 milliards de dollars, ce qui correspond quasiment à notre PIB d’il y a dix ans. Notre objectif pour 2023 étant d’atteindre le cap des 500 milliards de dollars de chiffre d’affaires à l’export », a t-il ajouté.
« La venue du président François Hollande devrait permettre de renouer avec la France, une amitié instaurée depuis l’empire Ottoman », a déclaré Zafer Caglayan.
S’adressant aux entrepreneurs, il a rappelé la mise en place par son gouvernement, début 2012, d’un nouveau mécanisme d’incitations fiscales pour les entreprises étrangères désireuses de s’installer en Turquie. Un système dégressif, le pays ayant été fiscalement découpé en six zones géographiques (les charges étant très basses dans la partie orientale). « Notre objectif étant de gommer les écarts entre les régions, a ajouté le ministre. Malgré la crise, la Turquie enregistre une croissance à l’export de 38% depuis quatre ans. L’année dernière, nous étions le deuxième pays exportateur vers l’Union européenne avec 152,5 milliards de dollars, ce qui correspond quasiment à notre PIB d’il y a dix ans. Notre objectif pour 2023 étant d’atteindre le cap des 500 milliards de dollars de chiffre d’affaires à l’export », a t-il ajouté.