
Les communications sont revenues à la normale entre la zone Moyen-Orient-Asie (photo N. Bureau du Colombier)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
MEDITERRANEE. Il aura fallu plusieurs interventions au câblier "Raymond Croze" de France Telecom Marine (Ftm) pour venir à bout des multiples incidents intervenus depuis le 19 décembre sur trois câbles sous-marins posés en Méditerranée, et sectionnés entre la Sicile et la Tunisie (Lire Télécoms: trois câbles sous-marins se rompent entre la Sicile et la Tunisie).
Le 5 janvier, un porte-parole de Ftm indiquait un retour à la normale pour les communications entre la zone Moyen-Orient-Asie.
Deux câbles avaient déjà été réparés, un le 29 décembre et le second le 4 janvier. Le troisième réparé le 25 décembre, a subi un nouvel incident dès le lendemain à 400 km d’Alexandrie, à 1.400 km du premier défaut.
La rupture de trois câbles simultanément est un fait rarissime. FTM impute la première avarie du 19 décembre à l’ancre d’un navire. Quant à la rupture du câble du 26 décembre, qui résidait par 3.000 mètres de fond, elle serait "d’origine sismique ou peut-être liée à un glissement de terrain local", expliquait le groupe début janvier. Ces déclarations mettent un terme aux rumeurs d'acte de sabotage diffusées sur certains sites Internet.
Le 5 janvier, un porte-parole de Ftm indiquait un retour à la normale pour les communications entre la zone Moyen-Orient-Asie.
Deux câbles avaient déjà été réparés, un le 29 décembre et le second le 4 janvier. Le troisième réparé le 25 décembre, a subi un nouvel incident dès le lendemain à 400 km d’Alexandrie, à 1.400 km du premier défaut.
La rupture de trois câbles simultanément est un fait rarissime. FTM impute la première avarie du 19 décembre à l’ancre d’un navire. Quant à la rupture du câble du 26 décembre, qui résidait par 3.000 mètres de fond, elle serait "d’origine sismique ou peut-être liée à un glissement de terrain local", expliquait le groupe début janvier. Ces déclarations mettent un terme aux rumeurs d'acte de sabotage diffusées sur certains sites Internet.