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FRANCE. Dans un courrier adressé le 16 décembre 2014, à la commission nationale du débat public (CNDP), les dirigeants de la société Fos Faster LNG Terminal SAS ont informé le président de cette instance, Christian Leyrit, de leur décision d’abandonner le projet de nouveau terminal méthanier qu’ils envisageaient de réaliser à Fos-sur-Mer, près de Marseille.
Le projet, porté par une co-entreprise entre le Néerlandais Vopak LNG Holding BV (90 %) et la filiale française du groupe pétrolier anglo-néerlandais Royal Dutch Shell (10 %), concernait la construction d’un terminal indépendant d'importation de gaz naturel liquéfié (GNL) d’une capacité initiale d'environ 8 milliards de m3 par an, sur une emprise de 90 ha à l’extrémité sud de la zone du Caban Sud, au cœur de la zone industrialo-portuaire de Fos. L’investissement était estimé à 1,1 mrd€ (700 M€ en phase 1).