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FRANCE. La concentration se poursuit dans le secteur du transport par car longue distance avec l'annonce, jeudi 2 mai 2019, par FlixBus France (filiale de l'Allemand FlixBus) de la reprise d'Eurolines-isilines à Transdev (filiale à 66% de la Caisse des Dépôts et à 34% du groupe Rethmann).
FlixBus (45 millions de voyageurs transportés dans vingt-neuf pays en 2018) acquiert les activités d'Eurolines en France (exploitées sous le nom d'isilines), en Espagne, aux Pays-Bas, en Belgique et en République tchèque. Un réseau couvrant vingt-cinq pays pour 25 millions de voyageurs transportés en 2018. Les négociations exclusives ont débuté le 4 mars 2019 pour aboutir le 30 avril 2019.
Seules les activités B2B en France, opérées sous la marque isilines, demeurent dans le giron de Transdev (6,9 mrds€ de chiffre d'affaires en 2018) dont elles adopteront le nom.
FlixBus détenait déjà plus de 50% des parts de marché avant ce rachat.
Mi-2015, le gouvernement français et son ministre de l'Economie d'alors Emmanuel Macron, décidaient, via la Loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques (loi Macron) de libéraliser le marché français des cars longue distance.
Début 2016, cinq acteurs se partageaient le marché de ces "cars Macron". Avec cette acquisition, il n'en reste plus que deux avec Ouibus (ex-IDbus), la filiale de la SNCF, en voie d'être rachetée par BlaBlacar d'ici à la fin du printemps 2019. Ouibus sera alors rebaptisée BlaBlabus et attaquera aussi le marché allemand.
FlixBus (45 millions de voyageurs transportés dans vingt-neuf pays en 2018) acquiert les activités d'Eurolines en France (exploitées sous le nom d'isilines), en Espagne, aux Pays-Bas, en Belgique et en République tchèque. Un réseau couvrant vingt-cinq pays pour 25 millions de voyageurs transportés en 2018. Les négociations exclusives ont débuté le 4 mars 2019 pour aboutir le 30 avril 2019.
Seules les activités B2B en France, opérées sous la marque isilines, demeurent dans le giron de Transdev (6,9 mrds€ de chiffre d'affaires en 2018) dont elles adopteront le nom.
FlixBus détenait déjà plus de 50% des parts de marché avant ce rachat.
Mi-2015, le gouvernement français et son ministre de l'Economie d'alors Emmanuel Macron, décidaient, via la Loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques (loi Macron) de libéraliser le marché français des cars longue distance.
Début 2016, cinq acteurs se partageaient le marché de ces "cars Macron". Avec cette acquisition, il n'en reste plus que deux avec Ouibus (ex-IDbus), la filiale de la SNCF, en voie d'être rachetée par BlaBlacar d'ici à la fin du printemps 2019. Ouibus sera alors rebaptisée BlaBlabus et attaquera aussi le marché allemand.