
Les députés français ont adopté le texte déjà voté par le Sénat le 20 juillet dernier (photo DR)
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FRANCE/ALGERIE. L’Assemblée nationale vient d’adopter le projet de loi autorisant l’approbation par la France de la convention de partenariat avec l’Algérie dans les mêmes termes que le texte déjà approuvé par le Sénat, le 20 juillet 2009.
Il s’agit d’un protocole administratif et financier relatif aux moyens de la coopération entre les deux pays qui avait été signé à Alger le 4 décembre 2007. Le texte a été ratifié par les députés algériens en avril 2008.
La tentative du député UMP Thierry Mariani demandant la suspension de la procédure de ratification parce que des députés algériens envisagent d’adopter une loi de criminalisation du colonialisme français a rencontré peu d’adeptes.
« C’est parce que nos relations avec l’Algérie sont essentielles pour nos deux pays qu’elles mobilisent tant d’énergie de part et d’autre. C’est aussi pour cette raison que nous nous attachons à en renouveler les fondements tout en cherchant à les consolider », a rappelé Alain Joyandet, le secrétaire d’Etat français à la coopération.
Pour ce dernier, « le président Bouteflika, élu en 1999 sur la base d’une politique de concorde civile, s’est donné pour mandat de stabiliser la situation et de renforcer l’image de l’Algérie sur la scène internationale ».
Il s’agit d’un protocole administratif et financier relatif aux moyens de la coopération entre les deux pays qui avait été signé à Alger le 4 décembre 2007. Le texte a été ratifié par les députés algériens en avril 2008.
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« C’est parce que nos relations avec l’Algérie sont essentielles pour nos deux pays qu’elles mobilisent tant d’énergie de part et d’autre. C’est aussi pour cette raison que nous nous attachons à en renouveler les fondements tout en cherchant à les consolider », a rappelé Alain Joyandet, le secrétaire d’Etat français à la coopération.
Pour ce dernier, « le président Bouteflika, élu en 1999 sur la base d’une politique de concorde civile, s’est donné pour mandat de stabiliser la situation et de renforcer l’image de l’Algérie sur la scène internationale ».