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AUTORITÉ PALESTINIENNE / ÉGYPTE. Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a demandé, dimanche 6 janvier 2019, à ses fonctionnaires de quitter le poste-frontière de Rafah. Ceci va avoir pour conséquence la fermeture de l'unique point de passage entre l'enclave de Gaza et l'Égypte.
A l'origine de cette décision se trouve des manoeuvres d'intimidation et l'arrestation de plusieurs de ses employés par le Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza. Dans un communiqué, l'Autorité palestinienne indique être "parvenue à la conclusion que cela ne sert à rien de maintenir notre présence" à Rafah.
Ce point de passage avait pu rouvrir en 2017 après une négociation entre l'Autorité palestinienne et le gouvernement égyptien. La condition étant que le poste-frontière soit administré par l'Autorité palestinienne et pas par le Hamas. Il est géré depuis novembre 2017 par le Fatah de Mahloud Abbas. Mais est régulièrement fermée par Le Caire.
Le porte-parole de ce mouvement islamiste, qualifié cette fermeture de "sanction supplémentaire de Mahmoud Abbas de séparer la Cisjordanie occupée de la bande de Gaza".
Le 7 juillet 2017, le poste-frontière de Rafah a fait l'objet d'un attentat revendiqué par l'État islamique.
A l'origine de cette décision se trouve des manoeuvres d'intimidation et l'arrestation de plusieurs de ses employés par le Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza. Dans un communiqué, l'Autorité palestinienne indique être "parvenue à la conclusion que cela ne sert à rien de maintenir notre présence" à Rafah.
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Le porte-parole de ce mouvement islamiste, qualifié cette fermeture de "sanction supplémentaire de Mahmoud Abbas de séparer la Cisjordanie occupée de la bande de Gaza".
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