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EUROPE. Après la colère des passagers, place aux sanctions de la bourse. Le titre de Ryanair a chuté de 2,89 % à l'ouverture de la Bourse de Dublin (Irish Stock Exchange). A la fermeture (17h30), l'action accusait une baisse de 1,76% après un pic à - 3,10% à 10h30.
La compagnie aérienne low-cost a soudainement annoncée, par un simple communiqué doublé d'un courriel aux passagers concernés, vendredi 15 septembre 2017, l'annulation de quarante à cinquante vols quotidiens pendant six semaines (quelque 2 000 vols), soit jusqu'à la fin du mois d'octobre 2017. Dans ce texte, Ryanair indique vouloir "améliorer le système de ponctualité du groupe tombé sous les 80% au cours des deux premières semaines de septembre". Et met en cause les grèves des contrôleurs aériens - dont elle ne cesse de se plaindre - et des perturbations météorologiques. La compagnie irlandaise numéro un en Europe doit faire face également au solde d'arriérés de congés de son personnel navigant, qui doivent être pris avant la fin de l'année. Une nouvelle législation prévoit de les calculer dès 2018 sur une année civile (janvier à décembre) au lieu d'avril à mars actuellement. D'où les perturbations.
Selon le site PNC Contact, ce manque d'effectif s'explique également par de nombreux départs de pilotes et hôtesses de l'air vers d'autres compagnies aériennes et notamment Norwegian.
Lundi 18 septembre 2017, Ryanair va publier sur son site la liste des vols annulés. Les aéroports des villes méditerranéennes (Barcelone, Lisbonne, Madrid, Milan Bergamo, Porto, Rome Fiumicino) demeurent largement les plus touchés avec six lignes sur les dix supprimées.
"Nous proposerons des vols alternatifs ou des remboursements complets au petit nombre de clients concerné par ces annulations", précise Robin Kiely, chef de la communication de Ryanair. Plusieurs passagers sont restés bloqués dans des aéroports européens, leur vol de retour ayant été annulé alors qu'ils se trouvaient déjà à destination.
La compagnie aérienne low-cost a soudainement annoncée, par un simple communiqué doublé d'un courriel aux passagers concernés, vendredi 15 septembre 2017, l'annulation de quarante à cinquante vols quotidiens pendant six semaines (quelque 2 000 vols), soit jusqu'à la fin du mois d'octobre 2017. Dans ce texte, Ryanair indique vouloir "améliorer le système de ponctualité du groupe tombé sous les 80% au cours des deux premières semaines de septembre". Et met en cause les grèves des contrôleurs aériens - dont elle ne cesse de se plaindre - et des perturbations météorologiques. La compagnie irlandaise numéro un en Europe doit faire face également au solde d'arriérés de congés de son personnel navigant, qui doivent être pris avant la fin de l'année. Une nouvelle législation prévoit de les calculer dès 2018 sur une année civile (janvier à décembre) au lieu d'avril à mars actuellement. D'où les perturbations.
Selon le site PNC Contact, ce manque d'effectif s'explique également par de nombreux départs de pilotes et hôtesses de l'air vers d'autres compagnies aériennes et notamment Norwegian.
Lundi 18 septembre 2017, Ryanair va publier sur son site la liste des vols annulés. Les aéroports des villes méditerranéennes (Barcelone, Lisbonne, Madrid, Milan Bergamo, Porto, Rome Fiumicino) demeurent largement les plus touchés avec six lignes sur les dix supprimées.
"Nous proposerons des vols alternatifs ou des remboursements complets au petit nombre de clients concerné par ces annulations", précise Robin Kiely, chef de la communication de Ryanair. Plusieurs passagers sont restés bloqués dans des aéroports européens, leur vol de retour ayant été annulé alors qu'ils se trouvaient déjà à destination.