
Une défaillance sur quatre est due à un défaut de paiement (photo Euler Hermes)
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MAROC. En raison de la crise et de l’augmentation du risque d’impayés, au Maroc et à l’export, Euler Hermes Acmar, filiale du groupe Allianz et numéro un de l’assurance crédit au Maroc, vient de lancer un nouveau produit « Action recouvrement ».
Destiné aux sociétés confrontées aux défauts de paiement d’entreprises tiers, le recours au service de recouvrement est gratuit.
La tarification est ensuite fonction dégressive des sommes récupérées : de 16 à 10% sur les montants recouvrés au Maroc ; de 18 à 14% à l’export.
Euler Hermes s’appuie sur un réseau mondial couvrant une cinquantaine de pays.
« A partir de 2008, les demandes de recouvrement au Maroc se sont accélérées, notamment à l’exportation », observe Jean-Christophe Batlle, directeur général d’Euler Hermes Acmar. « La faible croissance des principaux partenaires commerciaux du Maroc, à savoir la France, l’Italie et l’Espagne, implique un accroissement du risque d’insolvabilité des entreprises européennes et aussi des problèmes de débouchés pour les entreprises marocaines ».
Au Maroc, le crédit interentreprises, lié aux délais fournisseurs (90 à 120 jours), est estimé à 600 mds de MAD (54 mds€).
En 2009, l’activité recouvrement pour Euler Hermes Acmar a porté sur quelques 100 M de MAD de créances commerciales (9 M€).
Dans le monde, une défaillance sur quatre d’entreprises est due à un défaut de paiement.
Destiné aux sociétés confrontées aux défauts de paiement d’entreprises tiers, le recours au service de recouvrement est gratuit.
La tarification est ensuite fonction dégressive des sommes récupérées : de 16 à 10% sur les montants recouvrés au Maroc ; de 18 à 14% à l’export.
Euler Hermes s’appuie sur un réseau mondial couvrant une cinquantaine de pays.
« A partir de 2008, les demandes de recouvrement au Maroc se sont accélérées, notamment à l’exportation », observe Jean-Christophe Batlle, directeur général d’Euler Hermes Acmar. « La faible croissance des principaux partenaires commerciaux du Maroc, à savoir la France, l’Italie et l’Espagne, implique un accroissement du risque d’insolvabilité des entreprises européennes et aussi des problèmes de débouchés pour les entreprises marocaines ».
Au Maroc, le crédit interentreprises, lié aux délais fournisseurs (90 à 120 jours), est estimé à 600 mds de MAD (54 mds€).
En 2009, l’activité recouvrement pour Euler Hermes Acmar a porté sur quelques 100 M de MAD de créances commerciales (9 M€).
Dans le monde, une défaillance sur quatre d’entreprises est due à un défaut de paiement.