Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
LIBYE. Dans un communiqué conjoint publié samedi 7 février 2015, les gouvernements des États-Unis, de la France, de l'Italie, de l'Espagne, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne disent craindre une faillite de la Libye si la production pétrolière et les cours sur les marchés internationaux continuent de baisser.
"Compte tenu de la faiblesse de la production de pétrole et des cours, la Libye fait face à un déficit budgétaire qui peut potentiellement absorber toutes ses recettes financières si la situation ne se stabilise pas." précisent les Américains et leurs alliés européens.
Avant la révolte libyenne de 2011, la production de pétrole s'élevait à plus de 1,5 million de barils jour en Libye. Elle ne se situait plus qu'à 350 000 barils jour en décembre 2014. Le chaos local, deux gouvernements rivaux existent, conduisent à de fréquentes attaques des installations pétrolières dont la plus récente (champ d'al-Mabruk) voici quelques jours s'est traduite par le décès de onze personnes.
Les signataires du communiqué appellent toutes les parties prenantes à "participer de manière constructive au dialogue sous l'égide de l'ONU afin de parvenir rapidement à un cessez-le-feu durable et à un gouvernement d'unité nationale."
"Compte tenu de la faiblesse de la production de pétrole et des cours, la Libye fait face à un déficit budgétaire qui peut potentiellement absorber toutes ses recettes financières si la situation ne se stabilise pas." précisent les Américains et leurs alliés européens.
Avant la révolte libyenne de 2011, la production de pétrole s'élevait à plus de 1,5 million de barils jour en Libye. Elle ne se situait plus qu'à 350 000 barils jour en décembre 2014. Le chaos local, deux gouvernements rivaux existent, conduisent à de fréquentes attaques des installations pétrolières dont la plus récente (champ d'al-Mabruk) voici quelques jours s'est traduite par le décès de onze personnes.
Les signataires du communiqué appellent toutes les parties prenantes à "participer de manière constructive au dialogue sous l'égide de l'ONU afin de parvenir rapidement à un cessez-le-feu durable et à un gouvernement d'unité nationale."